Torasha RPG : la Confrérie de Saïsha
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 La beauté du moment ne dure qu'un instant.

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MessageSujet: La beauté du moment ne dure qu'un instant.   La beauté du moment ne dure qu'un instant. Icon_minitimeMer 8 Avr - 14:23

Dans le temple de la contellation, contruit pour regarder les magnifiques étoiles qui illuminaient le ciel la nuit et pour honorer la divine Laneya, déesse protectrice des centaures, après avoir fait un petit ménage qui faisait beaucoup de bien à la pièce en entier, laissant voir les dessins représentant des scènes quotidiennes de la vie des hommes-chevaux et de leur amour pour leur croyance et leur savoir immense qu'ils m'enseignaient quelque fois, je me laissa tomber sur un banc de marbre blanc, pas le plus confortable, pour être juste assise à côté de mon compagnon que j'avais rencontré par le coup du destin grâce à mon inattention, fixée sur mes seaux de bois contenant des feuilles d'Élemore, cachée dans ma cape et ma robe modeste, mais qui me faisait toujours penser pour une petite servante ou une esclave, ce qui me convenait mieux que de porter tout mon attrail en public, mis à part dans le quartier où nous nous trouvions présentement. Je mis mes coudes sur mes genoux, ma tête entre mes mains en forme de coupe. Je me demandais si nous allions passer la nuit ici, car, les portes de l'école de magie dans laquelle je possédais une chambre (maintenant au niveau des étudiants, à mon grand désespoir) étaient fermées depuis très longtemps, et celles de l'endroit òù nous nous tenions subiraient le même sort très bien tôt.

Je fus donc très soulagée quand Doom déclara qu'il préfèrait dormir ailleurs que dans ce temple, très beau, mais froid et pas vraiment confortable. Il proposa donc d'aller dans les montagnes qui servaient de fortification à ma ville d'adoption, aussi désordonnée soit-il. J'examina mes vêtements, puis, ayant la certitude qu'ils étaient assez résistants pour tenir, je hocha la tête. Une petite escalade me ferait franchement du bien, déjà que je ne ressentais pas la moindre fatigue dans mon corps. Je me leva, et, fixa mon colis à porter à mes tuteurs d'un air résigné. Je le laisserais là, et irait le reprendre après, quand nous reviendrions, le lendemain, car je supposais que nous allions dormir dans une des nombreuses cavarnes disponibles. Je remis péniblement mon déguisement, dissimulant tous mes joyaux et ma tenue plus extravagnante.

Nous quittions maintenant l'endroit où j'avais passé la majeure partie de ma triste enfance à Saïsha. Les rues, les maisons, les gens aillaient me manquer, jusqu'à temps que mes professeurs me confient une nouvelle mission, et que j'aurais finalement le temps de m'arrêter, parmi mes études et le couvre-feu. La dernière fois que j'y était venu, c'était il y avait plus de cinq mois. Je soupira, puis, regarda devant moi, assurée, mon magnifique visage (selon les hommes qui avaient la grande chance de le voir) caché par mes mèches noirs de jais. Ma démarche agile évitait tous les obsacles, mais, Doom me suivait toujours. Tant mieux. De plus en plus, la chaîne de montagne qui séparait la ville du reste du monde immense et éblouissant se rapprochait, signifiant la fin de notre progression. La nuit tombée depuis longtemps, on n'y voyait qu'à un mètre à l'entours de soi. Les rares lampadaires, arrivé à cette section de la citée, éclairaient faiblement la route du mieux qu'ils pouvaient. Tout était calme, le peuple dormait paisiblement, ignrant tout ce qui se passait. Après une heure de marche fébrile, notre petit duo arriva au pied de ce que nous voulions.

À mon grand soulagement, j'enleva ma robe, laissant mes vrais habits à la vue de tous(une tunique mauve et un pantalon beige, avec des dizaines de bijoux de mon clan) . L'argent que je portais cliquetiqua, mais je n'en fis guère d'histoire. Je me remémora tranquillement les mesures de sécurité préventives que m'avaient appris mon enseignant de "savoir connaitre son environnement", long nom pour dire qu'il nous apprenait à vivre là où nous étions. Je me tourna vers mon compagnon, toujours près de moi.

- On y va, oui où non? Il commence à faire froid, j'ai hâte de faire un feu à quelque part. Pourtant, je n'ai ni faim, ni soif, et je ne ressens aucune fatigue imminante. Et toi, prêt à commencer ou tu préfère te reposer un peu?

En fait, dans le fond de mon être, je souhaitais à tout prix qu'il réponde qu'il était prêt, car je mourrais d'envie de mettre l'apprentissage de ma famille en pratique dans une véritable situation, chose qui ne m'arrivait jamais. Mais, si Doom devenait rapidement essouflé, je ne pourrais pas continuer, surtout pas seule, et l'abandonner. C'était à lui de voir comment nous allions nous prendre. Je souris dans la nuit, et mon interlocuteur ne pouvait pas voir mes expressions. J'adore la noirceur, mais aussi le jour, tout de même....
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MessageSujet: Re: La beauté du moment ne dure qu'un instant.   La beauté du moment ne dure qu'un instant. Icon_minitimeVen 10 Avr - 20:57

Lorsque Elemore me dit qu'elle était tout a fait d'accord pour aller dans les montagnes, cela me remplit d'une grande joie. J'en avait assez de cette ville, de rester coincé entre ces murs. Je voulais être libre de bouger. Nous commençâmes a marcher. Notre voyage se fit sans encombre. Au bout de quelques dizaines de minutes, nous arrivâmes au pieds de la chaine de montagnes. Elemore s'arrêta, enleva une parti de sa tenue qui semblait lui tenir très chaud puis me demanda si je voulais commençais a escalader tout de suite ou me reposer un peu. Je n'était pas encore fatigué, je lui répondit donc:


Commençons l'ascension tout de suite, nous serons mieux la haut pour nous reposer.

Nous commençâmes donc a escalader la montagne se situant devant nous. Que cela était bon d'enfin pouvoir prendre un bon bol d'air ! Je marchais, détendu, mais toujours sur mes gardes. Je ne savais pas si l'endroit était sur. Aux alentours de minuit nous arrivâmes en haut de la montagnes. Nous décidâmes de nous installer au centre de buisson qui formait un cercle. En quelques minutes je ramassais des troncs d'arbres pour nous fabriquer une sorte de cabane, certes pas très solides mais suffisante pour une nuit. Devant cette cabane, Elemore déposa quelques pierres en cercles puis alluma un feu très rapidement. Celui-ci nous tenu chaud toutes la nuit. Il ne semblait pouvoir s'éteindre tant que ma compagnon ne le faisait pas elle même. Nous discutâmes environ une heure jusqu'à nous assoupir ma hache prêt de moi en cas d'attaque. L'air frais me frottais le visage. J'étais bien. Je me laissais sombrer dans le sommeil.

Celui-ci fût plus court que prévu. Je me réveillait environ 2 heures plus tard. Je en savais pourquoi, mais je me sentait observer. Je restait immobile. Quelques minutes plus tard j'entendit un bruit dans les buissons alentours. Je mit ma main sur ma hache et me leva sans un bruit. Ce que j'avais entendu se rapprochait. Je réveillait Elemore et lui dit le plus discrétement possible :

Je crois que nous sommes attaqués. Il vas nous falloir nous défendre. D'après mes estimations nous avons affaire à une dizaines de gobelins. Ce n'est pas très résistants nous pouvons nous en sortir sans encombres. Évitez simplement d'être griffer.

Le premier gobelins passa voulut jeter un oeuil sur ce qui se trouvait à l'intérieur de cette cabane. Lorsque je fût le voir, je me jetait sur lui et lui coupa la tête d'un seul coup de hache. Cela ne serait pas aussi facile pour les 9 gobelins restants car ils savaient maintenant que nous nous trouvions là. L'effet de surprise était terminé. Derrière moi je sentit qu'Elemore était prête a se défendre.
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MessageSujet: Re: La beauté du moment ne dure qu'un instant.   La beauté du moment ne dure qu'un instant. Icon_minitimeSam 11 Avr - 20:46

Je regarda la très haute chaîne de montagne qui faisait office de frontière et de postes de garde pour défendre la belle citée qu'était Saïsha, bien que terriblement désordonnée et pas toujours des plus sécuritaires, surtout lorsqu'on possédait le corps d'une femme, et seule, en plus. Cet objet, force de la nature, possédait une caractéristique extrèmement rare; celle de m'impressionner. À l'habitude, pas grand chose me fait secouer la tête en me disant que ce n'était peut-être qu'un mirage. Ce qui ce tenait droit devant moi, par exemple... Mais, bien sûr, j'adorais l'escalader. Quand il faisait un soleil radieux et que les oiseaux chantaient, qu'une partie de mon agenda personel demeurait vide, souvent, je sortais explorer la ville, étudier auprès des centaures ou encore mieux, je me rendais où nous étions, moi et Doom, et je commencais à escalader à main nue une des nombreuses parois, pour que, si l'un jour, mon ancien peuple me découvrait, que je ne voudrais absolument pas qu'il me prennent pour une frêle jeune fille dénudée de tous ses moyens de défense! Je crois que c'est l'une des derniers scénarios que je dérirais que ma vie prenne... Bien entendu, il y a aussi la mort, mais elle arrive un peu plus tôt, si ce l'est dans le combat ou dans une vieillesse remplie de bataille gagnée. Sinon, elle venait directement en bas de cette fameuse liste. Du coup, je me pert un peu. Ou nous en étions? Ah oui, difficile de l'oublier alors qu'elle est sous notre regard.

C'est avec soulagement que j'entendis le "allons-y" de mon compagnon à grand coeur. En l'examinant, je me rendis compte que j'étais très chanseuse de l'avoir de mon côté, et non l'inverse. Dans le deuxième des cas, je serais sûrement déjà à terre.. Ou plus de ce monde. C'est avec un grand bonheur que nous commencâmes l'expédition. Notre but: la plus haute caverne. J'avais assez d'énergie, et, selon mon regard, ma nouvelle connaissance en possédait autant que moi. En m'engageant sur le petit sentier, qui, bien vite, devenait tortureux, je n'espérais pas tomber du haut de cette immense falaise faite 100% de roc. Je m'imagina en train de voler parmi les nuages. Tous les deux dans notre bulle, nous échanchâme que quelques phrases incertaines. Je ne peux dire que je n'apprécait pas l'absence de bruit.

Finalement, après environ une petite heure de silence et de marche, un magnifique paysage s'offrit à nous. Le plateau marquait la fin du mur de pierres grises. De l'herbe grasse et haute couvrait la majoritée de l'espace, ainsi que plusieurs arbres. On aurait dit un petit paradis terrestre, qui s'étendait devant, derrière, à droite, et à gauche de nos deux minuscules personnes dans ce gisgantesque lieu. Je ramassa quelques pommes pour me nourrir un peu avant de me coucher. Mais, le plus impressionnant restait sans aucun doute la vue sur Torasha. Magnifique et grandiose. Tel sont les deux seuls mots pour décrire ce que nous apercevions de nos modestes yeux d'humains. Je ferma les yeux et respira à plein poumons pour respirer la faible brise d'air pur, qui faisait tinter mes bijoux en les frottant délicatement l'un sur l'autre. Au moins, ici, j'était libre et très bien. Contre tout attentes, je n'avais ni froid, ni envie de dormir. Bientôt, le soleil se leverai, et je devrai aller en cours. Si seulement le temps pouvait s'arrêter! Je crois que tous les hommes voudraient ce pouvoir tant convoité. Je me tourna vers Doom, qui tranportait, à ma grande surprise, des trocs d'arbre, plutôt moyens mais très lourd, pour en faire une cabane. Je dis tout bas, juste à moi, que cet homme aurait vécu une très belle vie d'honneur dans mon peuple. Quand le carré fut presque fini, je me mit en quête de roche pour servir au feu. Quand j'eu fini, j'entra dans la cabane de fortune, très bien construite, les brindilles s'embrassèrent d'un simple coup de main, étant donné que j'avais appris un peu plus tôt dans la semaine un petit sort, destiné à allumer un feu, très utile en ces temps. Les flammes, qu'en à elles, allaient seulement s'éteindre lorsque j'en donnerais la permission. Mon compagnon et moi-même commencâmes à discuter, vu qu'aucun de nous voulait dormir. Environ une heure après, faute de fatigue, je me coucha sur un lit de paille, qui ne semblait aucunement confortable, mais, quelques minutes dessus et je me sentit comme sur mon matelas. Je me glissa peu à peu dans le pays des rêves...

Je ne savais pas quelle heure il était, et encore moins qu'est-ce que mon compagnon avait pour me réveiller à cette heure. Je jura dans ma tête, puis, j'ouvris les yeux au trois quart de leur capacitée, pour montrer à celui qui se tenait juste à côté de moi que je reprenais mes esprits peu à peu. Franchement, je dis que j'aurais vraiment dû ne pas attendre que je sois épuisée avant de m'endormir. Note mental à retenir pour mes prochaines aventures, s'il y en aurait d'autre. Quand mes pensées furent assez claire, ce qui pris une seconde ou deux, mais pas plus, instinctivement, je mis la main sur mon fidèle pognard, qui m'aidait très souvent, dans toutes mes tâches, aussi futiles qu'elles soient. Je respira un bon coup quand j'entendis la voix derrière moi qui me disait que, selon lui, quelques gobelins nous observaient. Sûrement ceux qui faisaient partis des brignants. J'en avais déjà rencontré un petit groupe en revenant d'une mission de reconnaissance. Inutile de dire que cette enbuscade avait fini en sang... et pas le mien. Je ne connaissais pas leurs techniques, mais, soudain, un des leur fit son entrée.

D'un coup, Doom lui régla rapidement son compte. Au moins, pensa-je, il n'aura pas souffert d'une mort lente, loin de là. Mais, quand je me suis retournée, une citation d'un de mes tuteurs, étant aussi ma famille, me revint brusquement à l'esprit; " Un de perdu, dix de retrouvé". Ou bien neuf, car c'était le nombre de créatures difformes qui se tenaient en groupe serré, avec la ferme inttention de nous attaquer, et de profiter de leur avantage, sûrment le seul. Mes doigts se crispèrent sur le manche fait à la main de mon arme, jusqu'à faire blanchir mes jointures. J'avais la ferme certitude que je ne laisserais pas une bande de monstres me tenir tête. Tout comme mon compagnon, je m'avanca doucement, et, d'un coup, la bataille éclata. Vu que je n'avais pas d'épée en temps que tel, je ne pouvais me défendre convenablement. Pourtant, je distribuais coup de poing et de pied à ceux qui le demandaient, bien que subtilement. Bientôt, les quatres qui restaient se divisèrent en deux groupe. Le premier chargea vers mon "ami", si je pouvais l'appeller ainsi. Quand au deuxième regroupement, il commenca à m'attaquer avec acharnement. Vu que Doom était occupé, je ne pouvais tout simplement que compter sur ma petite personne. Finalement, après une vague de douleur provenant de ma tête, tout devint un noi d'encre. Je me sentis faiblir, puis, plus rien. Les gobelins me prirent, avec le cinquième qui, lâchement, avait abattu sa massue sur ma tête, puis, m'emmenèrent je ne sais où.... Ma nouvelle connaissance, elle, ne vit pas grand chose, car elle était prise avec ses propres assaillants. Enfin, je ne crois pas qu'il ait vaincu, puis essayé d'arrêter ces démons, mais, une chose est certaine, je ne me trouvait plus avec lui au moment de mon réveil.


(PS: Après ton post, je posterais moi dans la terre des ombres. Merci!)
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MessageSujet: Re: La beauté du moment ne dure qu'un instant.   La beauté du moment ne dure qu'un instant. Icon_minitimeLun 13 Avr - 23:17

Le premier gobelins gisait a mes pieds. Les 9 autres se séparèrent en 2 groupes pour nous attaquer, moi et Elemore séparément. Je ne pouvais voir comment elle s'en sortait, trop occuper a m'occuper de cinq gobelins en même temps. Ces monstres n'étaient certes pas très puissant mais a plusieurs il devenait très dure de s'en sortir. Ils me regardaient, leurs yeux globuleux me répugnaient mais je les regardait dans les yeux tout en me battant. L'un des gobelins m'asséna un grand coup de sa massue sur les jambes. Je tombait et ne parvenant plus a me relever -je supposait qu'il avait réussi a me briser les jambes- je lui envoya un coup de hache avec tout la force que je pouvais donner en étant a genoux. Le corps tomba devant moi mais je en vis pas sa tête qui avait du retomber un peu plus loin. Je sentit plusieurs coups derrières ma tête. Je cherchait mon amies des yeux et la vis se faire trainer par les gobelins qu'elle n'avait pas pu vaincre. Je perdit connaissance.

Je ne sait au bout de combien de temps je me suis réveillé. Je ne reconnaissait plus rien. Je ne savais absolument pas ou j'étais. Je cherchais des yeux Elemore et ne la trouvait pas. J'étais seul.


désolé ce post ne fait pas 10 lignes mais la description de l'endroit ou je me trouve me semble mieux se placer dans la terre des ombres.
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MessageSujet: Re: La beauté du moment ne dure qu'un instant.   La beauté du moment ne dure qu'un instant. Icon_minitime

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