Torasha RPG : la Confrérie de Saïsha
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 Un secret des plus lourds

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MessageSujet: Un secret des plus lourds   Un secret des plus lourds Icon_minitimeMar 14 Avr - 14:23

(HRP: *petite danse de la victoire.* J'ai finalement fini, yes! afro ... Jusqu'à la prochaine fois... *me frappe la tête sur le bureau*)

Une boule de lumière, aux couleurs qui changeaient en un rien de temps, passant du rouge sang au bleu poudre, et bien d'autre, se tenait devant moi. Au début, je ne voyais que cela, et plus loin, que du noir. Puis, de plus en plus, ses semblables se joingnirent à elle, effacant tout les pénombres, pour les remplacer par une lumière éteincellante. Plusieures d'entre elle demeuraient près de moi, les autres, restant à l'écart. Je suivais ces étranges phénomènes des yeux, qui virvoltaient autour de moi, avec une légèretée et une vitesse surprenante. Pendant un moment, tout s'effaca de ma pauvre mémoire; Doom, mes familles, les centaures, l'apprentissage, et même ce que j'étais moi, mais, je ne pouvais pas m'en rendre compte. Captivée par le fin mouvement, je ne pensais qu'à les regarder jusqu'à ma mort. Soudain, toutes les sources de lumière passèrent au noir, se fondant dans le décor, me plongeant ainsi dans les ténèbres. Sur le coup, j'eu le goût de mourir, tellement j'étais accrochée à ces voleurs d'âme. Je commenca tranquillement à reprendre mes esprits, que ces choses bizarres étaient en train de me voler discrètement. Pourquoi? Ce n'est pas à moi de vous renseigner. Enfin sortie de ma transe, je pris consience que j'était dans un des mondes qui m'hantaient, causant quelques visions qui me venaient souvent. Aussi rapidement que la noirceur m'envloppait, la lumière fut, aussi pure et aussi apaisante que je la connaissais. Je ferma les yeux, heureuse de ne plus vraiment être à risque. Puis, récupérant le sens de la vue, que la blancheur m'avat volé pendant un court instant, je pris consience des lieux où je me trouvaient, en souriant.

Quand je compris où cette aparition se passait, tout le bonheur qui m'habitait il y avait quelques secondes disparut dans les traits de mon visage. Des maisons, dont la majoritée ne tenant pas complètement sur leurs bases, avaient les vitres cassés, d'autres, leurs portes enfoncée. Dans celle-là je pouvais voir une chandelle entièrement consumée, encore fumante, dans une autre, une table et une chaise constituait le seul mobilier. Je me leva d'à terre, lentement, et tenta de faire un pas sur le sol, anciennement dallé, dans sa glorieuse jenesse, maintenant presque uniquement en terre battue. Je ramena ma jambe juste à temps; un gros trou menait vers le néant, là où j'aurais avancé. Je n'osais pas bouger un seul membre de mon corps, aussi petit fut-il. Je respirais faiblement, de peur de tomber dans l'un de ces trous noirs. Curieusement, il n'y avait pas la moindre trace de vent, ni du peuple. Péniblement, je porta les yeux vers ce que j'appréandais. Une immense bâtisse circulaire occupait le centre de l'espace. Quelques tours restaient en équilibre préquaire, car plusieurs de leurs pierres manquaient à l'appel, mais la plupart étaient déjà affaissée, depuis un bon bout de temps, je pouvais en être certaine. Des ponts cassé, tantôt de bois, tantôt de roc, témoignaient que des gens avaient habité dans cette édifice. Pour ceux qui n'avaient pas encore compris, il s'agissait sans aucun doute de la plus prestigieuse académie de magie, celle de Saïsha. Je serra les machoires de colère. D'un pas décidé, je mis un pied devant l'autre, et me dirigea vers les ruines. Mais, bientôt, je m'arrêta brusquement...

Les doigts crispés comme jamais avant, le regard vide, sans pensée, comme une eveloppe corporelle sans âme pour la soutenir, je m'effondra à côté du corps de l'homme défunt, les genoux sous le sol rude, ne faisant pas attention aux éclats de roches fendues qui encombraient cette section de la sombre ruelle où je me tenais maintenant. Je toucha sa blessure, directement au coeur; une fèche avait totalement transpersé, de part en part, son coeur, arrêté depuis un long moment. Pendant un moment, je resta imobile, sans émotion. Même respirer devenait trop difficile. Je refusais catégoriquement de pleurer, signe de faiblesse dans mon peuple. Je me contentais de contenir mon immense tristesse dans la coquille qui l'enfermait tout au fond de mon âme. Puis, après un long moment de lourd silence, je me décida enfin à faire quelque chose. Je pris, dans ma bourse en cuir travaillé, accrochée à ma ceinture, un bâton à feu très sec et sortit de son étuit mon poignard à lame recourbée fait en fer de lune. Je ne pris pas la peine de me mettre sur pied, du moins, pour l'instant. D'un geste sec, avec mon arme, j'emputa mes cheveux d'une mèche noire comme jais d'environ une dixaine de centimètre, puis le mit sur la poitrine du mort. Puis, aussi rapidement, pour ne pas défaillir, jeta le même sort qui avais allumé le feu, dans la cabane en bois que mon ami Doom nous avait construite, avec chacun notre minuscule chambre, puis, reculant de plusieurs pas, lanca le bout de bois, déjà à demi-consumé, sur le cadave. Je murmura une prière à la déesse de la mort, pour qu'elle accueille l'âme dans son paradis, puis, en silence, j'assita aux funérailles de fortune de mon père. Une voix retentit derrière moi, aussi profonde que grave, me faisant sursauter, dans mon deuil:

- Voici l'avenir prochain, si tu ne t'échappe pas des Terre d'Ombre et que tu ne tue pas ce sorcier de malheur, avec, bien sûr, l'aide de quelques (ou plusieures) personnes que tu rencontrera dans tes aventures. Car, si tu reste captive, tu sais à quel point ton père t'aime, et tu anticipes la suite, présentement. Il enverra des secours, et, si son équipe d'élite ne peut pas venir à bout de tous ses mécréants, il viendra lui-même, bien qu'il sache que cela lui coûtera sûrment la vie. Donc, dépêche-toi de te réveiller avant que cela n'arrive. Attention, ne prend cela que comme un avertissement, cet enchaînement va prendre une ou deux décennies avant de pouvoir se réaliser.

Je le savais tout près de moi, qui était seule depuis tous ce temps, dans la magnifique citée Je ne savais d'où il sortait, ni de comment il possédait tout ces renseignement. Quand je parlais, son essence vitale elle-même avait disparue, rayée de la carte du monde. Cet endroit, bien que déjà iréel, me le sembla encore plus, pensa-je, dans mon esprit, qui, selon moi, commencait sérieusement à divaguer...

- Qui... Qui êtes vous, au juste? Je ne vous ai jamais vu, jamais entendu... Mais, qu'est-ce que...

Il ne manquait plus que cela! Je commenca à me sentir étourdie, bien que, je le réalisa à ce moment, tout mes sens étaient dans le mode "sensibilitée zéro". Il me sembla même que les voix avaient eu place dans ma tête. Mon poignard ne possédait plus la texture d'ivoire. Seul mes yeux fonctionnaient normalement, et, commencaient à faire défaut. Je pesta contre la déesse des corps, qui me privait de mon unique lien avec le monde dans lequel je me trouvais. Puis, contre toute attente, un petit sentiment de détente vint s'installer dans mon coeur, chassant du coup toutes mes autres émotions, aussi diverses que contreversée. Je l'avais oublié ces dernières minutes, mais je vivais ce bizarre événement que dans l'une de mes visions, qui, à l'habitude... demeuraient.... toujours.... vraies. Et c'est reparti pour une crise d'angoisse. Sans blague, je ne rigolais pas. Tout à coup, le néant remplaca les images effrayantes du... futur. J'avais encore du mal à le voir comme tel... En fait, je ne m'habiturais jamais.


Soudain, je revins dans le monde réel, étape qui me demandait un peu plus effort, autant sur le côté physique que sur le côté mental de la chose. Alors que l'arrière de ma tunique était un peu ouverte dans le dos, (ce qui demeurait normal, en passant), un froid mordant enhavissant toutes les parcelles de ma peau. Si je me fiais à mon toucher, j'en conclu que je me tenais étendue sur une roche, en guise de lit. Je connaissais assez bien ceux des prisonniers en captivitée pour en déduire que je faisais maintenant partie des leurs. Seule une des milliers de question qui l'esprme traversaient it possédait un sens logique; où étais-je? Seulement, pour ne pas alerter les gardes, qui se trouvaient sûrment de l'autre côté de ma prison, si cela en était une, je resta dans ma position initiale, le temps de penser et de démêler mes craintes. Mais, je ne parvins pas à contrôler ma respiration, qui deumeurait, quoi que je fasse, toujours sifflante. Restait à espérer que cet endicap passerait convenablement pour une réaction face à un mauvais rêve, ce qui ne demeurais pas totalement faux. Je resta les yeux fermés, à me calmer. J'essaya toutes les techniques que mes tuteurs m'apprenaient, sans plus de succès qu'une baisse d'énergie. Au bout d'un long moment, je renonca à ma tâche, et me détendit attendant que mon corps se calme de par lui-même. Je repensa à ce cauchemar qui semblait plus réel que la nature elle-même, espérant trouver une logique. Peine perdue, je ne pouvais rien faire de ces informations agacantes. Si je rencontrerais quelqu'un de confiance, peut-être je lui parlerais de ces choses qui m'arrivaient. Pourtant, je n'arrivais pas à accepter que mon père meurt dans ce futur sombre. Et je ne parle pas de la tour de magie, bientôt détruite à jamais.

Après une heure sans bouger, je commenca à sérieusement m'ennuyer, autant qu'une guerrière de mon peuple, telle que moi, n'accepterais pas vraiment de rester sans bouger pendant des jours, mis à part si son chef lui ordonnait. Mais, dans ma situation, valait mieux explorer mon nouveau toit, comme cela, si une bagarre éclatait, je pourrais me défendre du mieux que je le pouvais. Du coup, je battis des paupières, puis ouvrit les yeux, imitant, bien que ça soit assez difficile, quelqu'un qui se réveillait, bien que je l'était depuis un bout de temps... Je sentis un morceau de mon pantalon rester accroché dans une imperfection, mais je ne m'en formalisa guère. Il y avait des choses plus importantes. Mes dizaines de bracelets en argent, taillés dans le métal le plus pur, un par un, par le forgeron de mon clan, tintèrent, faisant un bruit discret, mais, pour celui qui savait entendre, devenait aussi fort qu'une tempête, à l'automne, dans les vertes prairies de Torasha, où les fermiers laissaient leur bétails se nourrir après les longs voyages que nous entreprenions, avec ma famille. Je réalisa alors quelque choses. Je pris entre mes mains mes pendentifs, efflura mes deux pares de boucles d'oreille, mon bracelet de pied, et tout le reste. Comme cela, ces maudits gobelins m'avaient laissé tous mes objets. Avec une faible luer d'espoir, je porta la main à ma hanche, ce qui suivit d'une désesption. Mes gardiens ne m'avaient pas laissé mes armes. Je les comprenais, mais... J'entrpris donc d'explorer la pièce, assez grande pour une cellule.

Je me trouvais assise, comme je le croyais, sur un lit de pierre. En fait, c'était plus une cavitée dans le mur de roc, grossièrement taillé, sûrment par des coups de pieu, à environ un mètre d'à terre. Mes jambes tendaient dans le vide. Une porte, en un métal que je ne connaissais pas, ne pouvait être défoncée, même par Doom, qui possédait une musculature assez impressionnante. Pas moyen de sortir là. Par delà, on endentait le rire sonore d'un soldat, qui, selon moi, avait pris un peu trop d'alcool, quel qu'il soit, et ne voulait que s'amuser, au dépend des autres. Note mentale; faire attention à ce qu'il ne rentre pas ... Je ne voudrais pas combattre en ce moment. Après, continuant ma visite visuelle de la petite pièce, je remarqua une fenêtre trop étroite pour y passer, qui donnait sur un magnifique paysage. De quoi torturer n'importe quel prisonnier par cet aperçu de la liberté, dont il est privé. On y voyait un ruissau qui coulait abondament, les roches plates, des arbres dont les feuilles frémissaient à chaque brise. Très au loin, je cru distinguer la chaîne de montagne qui servait de muraille à ma citée d'adoption. Il y avait aussi, dans ma prison, un tapis tressé à la main par des artisanes, des cavitées un peu comme les miennes, servant de sièges si je voulais me reposer, et une table avec une chaise en bois, mobilier assez coquet contrairement à d'autre. Sur celle-ci, un objet et une pile de vêtement reposaient, déposé par je-ne-sais-qui. Je descendit finalement de mon perchoir, en sautant grâcieusement, pour retomber sur mes pieds sans bruit. J'avança vers les choses, pour esquisser un faible sourire. Il y avait là mon pognard en ivoire, intact, sauf la lame, qui était maintenant émoussée. Mon déteneur ne voulait pas que je me suicide, alors, j'avais des chances de survie. Il y avait aussi une autre tenue, pareille à la mienne. Je commençais à savoir qui m'avait enfermé, car, dans Torasha, très peu de gens connaissaient mes goûts vestimentaires.

Refusant de rester là à ne rien faire, la tête dans mes paumes, dans un des trous du murs servant de sièges, j'attrapa d'un geste l'arme qui m'aidais tant au quotidien, maintenant devenue inutile. Je la soupèsa dans ma main, testant son équilibre comme mon père m'avait appris à le faire. Je replongea dans mes souvenirs d'enfance un moment, puis, secouant la tête, j'essaya d'oublier toute cette nostalgie. Me rapellant ce que je voulais faire, j'enleva tous mes bijoux, puis, les déposa là où il y avait mes autres affaires, et je laissa ma nouvelle tunique pliée. Je me rendis au milieu de la pièce, rangea mon précieux objet dans son fourreau, puis, je débuta mon entrainement, celui de la paix, pour calmer mon coeur encore un peu affolé. Un chant profond, mélancolique et magnifique à en verser une larme sortit de ma gorge, résonant dans toute les cellules et même dans tout le château, si j'étais captive là où je pensais. Je me mis à répéter les mouvements lents, qui collaient parfaitement avec la mélodie, que ma famille faisait avec moi à tous les jours. Bientôt, une paix tranquille s'installa en moi. Je n'arrêta pas. Le chant du guerrier, secret de mon peuple, transmis de génération en génaration depuis plus d'un millénaire, vibrait dans l'âme même de la Terre des ombres, à des milles à la ronde, en faisait trembler les chemins sacrés.


Dernière édition par Elemore Koly le Mer 29 Avr - 19:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Un secret des plus lourds   Un secret des plus lourds Icon_minitimeJeu 16 Avr - 22:43

Lorsque je me réveilla, tout ceux qui m'entourait me parût irréel. Je me trouvais dans une petite pièce, un genre de cellule de prison comme on aurait ou en voir dans le monde d'où je venait (je disait le monde d'où je venais car l'endroit ou je me trouvais me paraissait tellement différent que je ne savais pas quoi penser). J'étais allongé par terre. Les "choses" qui m'avait mis la n'avait pas fait dans la dentelle, elles m'avaient tout simplement jeter par terre. Je me relevait. La porte - fermé bien sur - était en bois et ne paraissait pas très solide. En regardant au tour de moi j'eus la grande surprise de voir ma hache posé par terre. Pourquoi me l'avoir laisser ? Je ne comprenais pas mais décida de ne pas me poser cette question. Je la pris donc. Je ne voyait aucune autre issus pour sortir que cette porte en bois. Ne voulant pas rester enfermer a attendre que l'on m'ouvre, je décida de détruire cette porte. Elle n'était vraiment pas solide. Un coup d'épaule et elle vola, s'écrasant un peu plus loin. Je sortit.

Ce que je vis a l'extérieur, car la pièce ou je me trouvais menait directement dehors, me fit un effet que je ne pourrait décrire. Ni de la peur , même pas une petite anxiété, je dirait plutôt une sorte de frisson, entre l'étonnement et l'envie de découvrir tout cela. Je venais de me faire battre par des gobelins et emmenais dans une ville qui avait tout de lugubre et j'avais déjà envi de repartir à l'aventure! Autour de moi, les maisons étaient complètement détruite, leurs vitres étaient explosé. J'avais l'impression qu'un escadron de la mort était passer par la et avait tout détruit, ou même pire! Il n'y avait pas âme qui vive. Personne. Cette solitude aurait pu être effrayante mais, surement par rapport au lieu ou je me trouvait, cela ne me fit aucun effet. Un peu plus loin sur ma droite, je vis une maison un peu plus grande que les autres avec quelque chose d'écrit sur le toit, un peu comme une enseigne. En m'approchant je pu déchiffrer : Taurnil Celebrindal. Je en connaissait pas ce langage. Je décidait d'entrer pour voir se qui pouvait bien se trouver à l'intérieur. Une fois à l'intérieur, j'entendis une voix :

Si tu n'arrive pas a t'échapper de ce lieu avant le matin ou le soleil se lèvera à l'ouest, un de tes meilleurs amis tous dans d'atroces souffrances car telle est la prophétie qui est créer a chaque fois que quelqu'un entre en ce lieu.

La seul amis que j'avais encore en vie se trouvait être Elemore. Je me dis qu'il serai peut être bon de la retrouver et de s'enfuir rapidement. Je e comprenais pas cette histoire de "le jour ou le soleil se lèvera a l'ouest". Le soleil se lève a l'est d'après mes connaissances. Je ne savais même pas combien de temps il restait. Allez savoir pourquoi, je ne ressentait absolument aucune peur. J'étais très calme. Je montait à l'étage du bâtiment, et là, je vis la chose qui me parût le mieux aller avec la décoration, un cadavre! Je me demandait même si il n'avait pas été mi la exprès. Des traces de sang se trouvaient sur les murs.

Je ne put finir d'identifier tout se qui m'entourait car j'entendis des bruits de pas en dessous de moi. Je me cachais derrière la porte. C'était l'occasion de voir se qui vivait ici. Il se retrouva dans la salle ou j'étais mais ne me vis pas. Il se mit a regarder par le trou qui se trouvait la ou se trouvait une fenêtre dans des temps plus reculés. Je m'approchais sans bruit derrière lui et lui asséna un coup de hache dévastateur qui aurait décapiter un lion. L'être qui se trouvait devant moi ne tressaillit même pas. Il se retourna. Sa tête, si on pouvait appeler sa une tête, se composait de 2 orifices qui constituait ses yeux qui était à moitié crevé (étonnamment il voyait encore!), son oreille droite était coupé. Sa bouche quant a elle était composé d'une série de dents suffisamment longue et aiguiser pour pouvoir m'arracher la tête d'un seul coup. Une énorme cicatrice lui barrait le visage. Je en ressentait toujours aucune crainte et le regardait droit dans les yeux.

Au bout de quelques secondes de cette joute de regard, il se jeta sur moi. Je l'esquivais. Il s'écrasa par terre. Je put lui donner un coup de hache dans le dos en y mettant toutes ma force. Il parvint quant même à se relever. Il était d'un résistance vraiment impressionnante. Je le vit fondre sur moi, les dents prêtes à se resserrer sur mon coup. Je parvint, en me baissant a l'attraper au niveau du bassin, a le soulever, et, ne réfléchissant pas, le balança par la fenêtre dont nous nous étions pas éloignés. Je m'assit et me mit a réfléchir à se que je pouvais bien faire lorsque j'entendis un champs venir de je ne savais ou. Cette voix me semblait familière. Elemore ! me dis-je après une dizaine de secondes de réflexions. Ou pouvait t'elle bien se trouvait ? Une chose était sur, elle en devait pas être loin car sa voix était très distincte. Je m'assoupis instantanément, comme si on m'avait jeté un sort. Je ne m'était jamais endormi aussi vite, ni dans un tel état d'énervement. Je me perdit donc dans un sommeil sans rêve.

Voila a toi de jouer a présent !
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MessageSujet: Re: Un secret des plus lourds   Un secret des plus lourds Icon_minitimeVen 24 Avr - 18:53

Pied gauche en avant, souple et léger, sans poids, comme la rivière qui s'écoule. Inspire l'air devenu limpide, et expire le reste, donne le à la vie. Les deux mains devant, position du tigre, et pousse le mal qui est retenu en toi. Repète la respiration sans aucun sons. Poingt sur ta poitrine, sent le courage t'envahir, prêt à te pousser dans toutes les aventures, si tu le veux. Ton souffle représente la volontée, la fidélitée, l'honneur et le respect. Pense-y sans te déconcentrer, relâche chaques muscles de ton corps, ressent le rythme de la vie dans ton sang. Chaque chose qui nait, chaque chose qui meurt. Chante leurs louages, chante leurs avenir. Ne cherche pas les mots, laisse les venir à ton esprit sans les emprisonner. Sans les priver de leurs libertée grandissante. Chaque parcelle de ta peau ressents ce qu'ils ressentent. Un vent souffle à l'est, un bonheur à l'ouest. Une immense tristesse au nord, qui donne un goût amer de la vie. Et au sud.....

Je rouvri subitement les yeux, mon regard noir de jais regardant partout, guettant quelque chose qui n'existait pas, mais, que moi, croyait vraie. Du moins, dans les dernières cinq secondes. En m'assurant que personne n'avait profité de ma danse pour se cacher derrière moi, je fus prise d'un vertige incroyable. Tout autour de moi tournait comme une toupie, et je ne possédais rien pour m'empêcher de tomber dans les profondeurs du coma. Finalement, je réussi, tant bien que mal, à marcher jusqu'au mur devant moi. Sa paroi rocheuse ne m'effayait guère, autant qu'elle pouvait m'offrir un soutien, aussi minime qu'il soit. Je m'effondra par terre, dos contre la roche, au-dessus de mon lit improvisé. Je ferma les paupières, attendant que cette chose passe. Quelques secondes après, mon estomac était vide, et moi, trop épuisée pour m'en rendre compte. Ma première pensée fut; est-ce que je vais mourir? Difficile à dire. Je commenca à tousser comme jamais avant. Je n'avais qu'un court temps pour respirer entre chaque quinte, qui durait longtemps.... Trop longtemps. Le paysage vacillait encore beaucoup. Nul symptôme n'avait disparut, sauf la paix qui règnait en moi. Tendue jusqu'à l'extrème, j'en déduit que c'était cela qui m'avait tiré de ma danse. En mon for intérieur, je remercia, car, sinon, je m'en serais pas rendu compte. Ce fut au tour de mes voies respiratoires de se serrer dans un étau invisible. Je paniqua, mais me ressaisi. J'avais finalement compris de quoi je souffrais. Le souffle court, ma toux empirée, les mains moites et tremblante, je défis à la hâte la gance de cuir qui enfermait le contenu de ma bourse chérie, que je traînait à toutes les occasions. J'en sortit une pincée de feuille d'Élémore, les déchiqueta grossièrement, puis avala le tout rapidement. Il ne restait qu'à espérer que l'antidote fasse effet avant que la dernière phase apparaisse.

Peu à peu, je repris mon équilibre, encore précaire. Je respirais mieux, même si je ne devait que bouger lentement. Je me leva péniblement après une ou deux minutes. Je me félicita d'être aussi prévoyante, dans toute les circonstances. Avant de partir escalader cette montagne qui nous avais tant causé de problème, moi et Doom, je pris une pincée des feuilles que je cueillais le matin même, pour avoir une preuve à fournir à mes tuteurs si je ne parvenais pas à récupérer ces maudits seaux, offert par un druide respecté. Si je ne le ramenerais pas, je passerais un mauvais quart d'heure.... Détournant mon esprit de cette situation délicate je songeais à l'expérience que je venais de vivre. Un poison, ce ne pouvais être que cela. Pourtant, je n'avais rien mangé depuis les pommes que je pris à la montagne, et mangea un peu plus tard. Et cette réaction se passait dans la demie-journée qui suivait. À ma connaissance, nous étions le soir, la lune commencait à pointer à l'horizon, après un bref coup d'oeil dans la fenêtre de ma cellule. Ci cela aurait été ces fruits, je serais déjà sur l'autre rive. On pourrait peut-être m'empoisoner dans mon semi-coma, mais, pourquoi pas une mort lente, ou une rapide, qui agirait dans mon sommeil. Une douleur au mollet me mit la puce à l'oreille. Je tassa mes pantalons en lin, qui émirent un petit frotement, et me rendis compte en même temps qu'une longue ligne rouge s'étendait de ma cheville jusqu'à la demie de mon mollet. Je fronça légèrement les sourcils, à motiée inquiète. Le reste était plutôt contitué de curiositée. J'efflura la blessure, pas vraiment profonde, de mes doigts, la tâtant un peu, essayant de voir comment je pouvais m'avoir infligé cette marque. D'un coup, tout me revint en tête. Mon réveil, mais, surtout, mon saut hors du trou qui faisais office que lit. Je me dirigea vers cette direction, pour me rendre compte que ce que je prévoyait était vrai. Parmi les quelques fibres de tissus qui restait, un bout très pointu du roc émergeait. Ma blessure avait eu le temps de refermer, et cette pointe devait contenir un peu de bactérie très néfaste. Je remarqua un pichet d'eau dans un coin. J'alla le ramasser de asperga le sujet de cette crise du liquide pur afin d'élimier tout potentiel devenu dangereux. Par pure inconsiance, je remonta, mit ma tête entre mes mains, qui étaient appuiée sur mes genoux... En espérant que quelqu'un ouvre la porte, pour que je puisse sortir.
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MessageSujet: Re: Un secret des plus lourds   Un secret des plus lourds Icon_minitimeVen 1 Mai - 13:34

Quant je me réveillât, je me pris a me demander ou je me trouvais. Je en me souvenais de rien. Je regardais autour de moi. Pourquoi étais-je dans cette pièce, à moitié détruite ? Tous mes souvenirs me revinrent d'un coup. J'avais été capturé par ces foutus gobelins dans les montagnes alors que je me promenais avec Elemore. D'ailleurs il fallait que je la retrouve. Tout en me levant je réfléchissait à combien de temps j'avais bien pu dormir ici. J'aurais dit environ 3 heures. Je sortit de l'endroit ou je me trouvais et regarda autour de moi. Tout était toujours aussi délabré et il n'y avait aucun signe de vie. Je commença a marcher, dans une direction choisi au hasard. Peut être trouverais-je quelque chose. De toutes façons je en connaissait rien, je ne pouvais donc pas choisir une direction autrement. Je marchait. J'entendais du bruit autour de moi, et ces bruits me faisaient penser à des voix, comme des murmures. Je me souvint que lors d'un de mes voyages précédant, un vieux sages que j'avais rencontré dans un village que j'avais défendu contre quelques monstres m'avait dit qu'il existait un endroit qui paraissait abandonnés, mais qui, d'après une vieille légende, serait en fait le lieu d'errance d'âmes n'ayant pas trouver le chemin du Paradis. D'après lui il était également possible que cette endroit serve de repaire a des gobelins et que leurs prisonniers étaient emmenés la en attente. Mais nul ne savais ou se trouvait ce lieu. Après quelques minutes de réflexions, j'étais persuadé que se lieu existais vraiment et que c'était là que j'avais été emmené.

Soudain je fût dégager de mes pensées par un bruit plus fort que les autres et qui surtout me semblait réel, comme possible a entendre. On aurait dit un genre d'explosion. Je me dirigeait vers l'endroit d'où venait ce bruit. Certains auraient dit que c'était de l'inconscience, d'autres de la folie ... Pour ma part je pensais qu'il fallait un peu de folie, d'inconscience pour pouvoir faire preuve de courage. Comme m'avait dit mon maitre : Mon amis, tu es fort ! Tu es courageux ! Mais si un jour l'une de ses deux qualités vient à manquer, alors l'autre ne pourras la compenser. N'oublie jamais : Le courage est vain sans force, mais sans courage la force n'est rien.

Au croisement de deux rues, un peu plus loin, je vit que la rue avait été complètement annihilé, par je ne savais pas quoi. Si je m'était trouvé la trois minutes auparavant, je serait mort a l'heure actuelle. Des cadavres jonchaient le sol, des cadavres de gobelins, des morceaux de corps presque méconnaissable, et des restes de quelques chose qui ne pouvait pas être humain, je dirait même qui ne pouvait être vivant, une sorte de poussière blanches. Tout cela était mélanger, dans toute la rue, avec des morceaux des bâtiments qui était la il y'a peu. Des morceaux de toitures, de murs. Il se passait vraiment des choses bizarres en ce lieu.

A quelques mètres de là j'entendis des bruits, comme quelqu'un de vivant aux alentours. Je me rapprochait, les bruits étaient réel. Derrière une porte. Cela était peut être le fruit de mon imagination mais j'avais l'impression de reconnaitre ces pas. Ne réfléchissant pas aux conséquences que pouvaient avoir mes actes, j'enfonçais la porte. Elemore était devant moi mais elle semblait affaibli par quelque chose. Je m'accroupis a ses cotés et attendit qu'elle me dit se qui n'allait pas et qu'elle me raconte ce qui lui était arriver.
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