Les rue d'Astiroth

Kassina marchait déjà depuis plusieurs minutes déjà dans le marché du petit territoire de son maître. Même si le père d'Osgath en était le roi, dans le coeur de ces gens autour d'elle le grand Os était leur roi de leur petite île.

En fait, la jeune femme était inquiète, Osgath lui avait demander de ne pas le suivre pour aujourd'hui et qu'il lui laissait la journée libre. C'était très rare que le prince exilé prend cette décision, et Kassina ne savait pas quoi pensée. Habituellement, Kassina est une deuxième ombre de son maître. Par ocntre, aujourd'hui elle était seule avec ses inquiétudes et elle ne savait pas quoi faire. Elle se contenta de marcher les rues et voir si elle pouvait venir à l'aide de quelqu'un.

Plus tôt, une jeune fille portait un lourd fardeau et quand Kassina voulut l'aider, celle-ci la regarda avec de grands yeux globuleux et partie, tant que de bien que de mal, en courant. Peu de gens respectaient cette jeune servante appartenant au gentil et très beau Osgath. À son passage devant un groupe de jeune femme, elle entendit des murmures à son égard :

-Vous voyez cela ? N'est-ce l'ombre de son maître ? La prêtresse démente ?
-J'ai entendu dire qu'elle descent d'une famille de sorciers qui assassinaient des enfants..
-Moi j'ai entendu dire qu'elle portait la marque du démon sur son bras...
-Je n'en doute pas, regardez ses cheveux, ce n'est pas une couleur normale pour une jeune femme de son âge.
-Le prince doit la garder à l'oeil pour ne pas qu'elle tue nos propres enfants...
-Elle se serait donc enfuit ??

Les murmures continuèrent à parcourir et les regards se tournèrent vers elle à son passage. Au dehors, elle avait l'air à ne pas s'en faire, mais chaque parole plantait comme un aiguille dans son mur de glace qu'elle avait forgé autour de son coeur. Qui sait combien de temps ce mur allait encore tenir ?

Elle s'était donc retrouver dans les ruelles les moins fréquentées pour pouvoir fuir de tous ces mauvais commentaires à son égard.

Kassina s'assit finalement sur un banc en laissant les flocons de neige fondre dans son visage. Elle serra sa cape sur ses épaules en ignorant le froid qui lui piquait sa peau frêle. Elle ferma les yeux pour pouvoir se noyer dans ses souvenirs, mais le visage de sa mère adoptive lui apparut et elle ouvrit ses paupières.

En bessant la tête, elle apperçu des pieds caller dans la neige, et quand elle leva son regard, elle vit son maître Osgath éblouit par la lune.

-Maître..., souffla-t-elle sans à peine remuer les lèvres.

L'ex prince exilé avait cherché des informations dans une bibliothèque avec un sage toute la journée, il avait donc dit à sa servante qu'elle possédait une journée libre, même si il savait très bien qu'elle serait emprisonnée par ses questions idiotes. Os se doutait également elle élèverait des murmures, mais il en avait marre de tous ces gens stupides qui la croyait dangereuse. Sur cette île d'assassin et de criminel, la seule personne qui était crainte était une fille, réellement innocente dans ses actes. Ses origines, sa majesté Hellfray s'en moquait beaucoup, car il avait sans doute des origines bien pire, son père était le plus grand tyran en ce monde, et ce n'était guère des légendes racontés, mais des histoires vécues.

Dans la bibliothèque, il aida un sage à trouver les informations qu'il désirait. La lecture le faisait souffrir au plus au points, bougez était nécessaire pour lui. Enfermez dans une cage et nourisser au minimum, il vas survivre. Plantez devant un poteau, nourris et traitez comme un dieu, il mourrait au bout de 5 minutes.

Ce qui l'intéressait cette journée, c'était les origines de l'île, qui avait créez cette île... Le sage avait trouvé une information plutôt intéressante. La légende de l'île pénitentiaire était réelle. Cela le surprenait légèrement, pendant un siècle, des criminels, et des filles rêvant d'aventure sont venus sur l'île, peu à peu, l'île a acquise une autonomie et se transforma en région infernale sur la quelle le froid était dominant. Cela signifiait une chose intéressante : l'île n'avait aucune nationalité.

Le prince demanda les documents au sage et lui donnez quelques pièces d'argent pour le récompenser. Puis il sortit de la bibliothèque secrète. Une fois rendu dehors, c'était le soir, et le feux au centre du village était allumé, il regarda un peu partout et vie la rue qu'il cherchait. Son instinct lui disait de chercher une rue désertique. La rue situer en question en deux allez de maison qui n,avait aucune porte vers là. C'était d'avantage un recoins qu'une rue. Sa tuque de laine sur la tête, Osgath s'y dirigea hâtivement.

Une fois rendu là, il vit sa servante qui dormait sur un banc installer là pour une raison quelconque. Il se positionna devant Kass et enleva sa tuque alors qu'elle se réveillait et lui disait ''maître...''.

Osgath était un peu furieux, Kass avait les oreilles rouges et aurait pu rester encore longtemps endormies si il n'était pas arrivé. D'un geste vif, il installa sa tuque sur la tête de sa servante.

-Il n'y a pas de ''maître'' qui tienne Kass! Tu sais très bien que L'hiver est cruel ici, même si tu as survécue une fois, je ne veux pas prendre de chance. Alors mets une tuque ou rentre au chaud lorsque le froid tombe. Et cette hiver, tu vas toujours porter ta tuque! Sans exception.

Osgath donna son bras pour aider sa servante à se relever puis changea de sujet.

-Nous allons partir bientôt vers le continent central, je vais tenter d'obtenir l'indépendance d'astiroth. Tu viens avec moi.

Kassina semblait vivement opposer à réclamer l'indépendance de l'île. Et cela pour une raison qui mettait le feu à la chair d'Osgath. Son père... son père? De quelle père parlait elle? Comment un père pourrait il penser une seule seconde à la mort de son fils... malheureusement, Kass avait bien raison, malgré toutes ces chose, il restait son père, un père qu'il détestait au plus au points. Mais, la haine n'avait pas réussi à entrer dans son cœur, mais ce dernier c'était en quelque sorte créer une carapace, pour que la haine n'y rentre pas, car se malheureux sentiment revenait siéger son cœur à chaque fois que son père revenait dans son esprit.

Osgath baissa les yeux pour regardé le sol... la neige, le froid, tout comme son coeur, cette terre était abandonné, glacé et cruel. L'hiver nordique, aucune armée ne pourrait attaquer cette île pendant au moins 6 mois. Pendant 3 autres mois, les hommes d'Astiroth pourrait se servir de la nature et de l'île pour résister aux invasions. Et les 3 derniers mois, seule la tête de quelque capitaine pouvaient les sauver. Les yeux baisser vers le sol, Osgath ne pensait plus qu'à une chose.

**Mon père.... votre père? Face à mon père...**

La giffle partit tout seule. En une seule seconde la main chaude d'Osgath vint frapper la joue Gelé de Kassina. Par la suite il tourna ses yeux vers elle pour lui jetez un regard qui, tout comme l'hiver, était froid et cruel. En la pointant du doight il lui dit une chose.

-Ne t'avise plus jamais de parlez de mon père sans ma permission.

En tant normal, une personne qui lui parlait de son père aurait manger plusieur coups au visage, tout comme un ours se mets en colère lorsqu'on attaque ses petits, le prince ce mettait en colère lorsqu'on déclenchait un siège sur son coeur.

Il prit la main de Kassina et se dirigea avec elle aux château, pour être au chaud, puis, avant d'entrer, il rétorqua un peu froidement à la question de sa servante, bien que la réponse répondait d'avantage à un autre interrogation.

-L'hiver nous protège 6 mois. Nous pouvons user de la nature pour 3 autres mois, les mois qui restes, les généraux du roi sont trop stupides pour réussir à envahir cette île.

Puis il rentra aux chaud dans ce qui servait de château. Le hall était plutôt grand, et le trône de Osgath se trouvait au coté opposer de l'entrer, un trône rustique en bois, sans trop de décoration, ni de coussin de tissus, seule une peau d'ours était étaler sur le trône. Sur les murs qui était à coté du trône, il y avait deux portes qui menait à des escalier. Aux deuxième étage se trouvait les chambres royal. L'étage d'en haut était diviser en deux sections. Est-Ouest, la section est appartenait à son oncle, et lui possédait la ouest. Les deux sections avait 8 pièce pour un espace total de 40 mètres sur 20 mètres. L'étage du bas lui était plus gros, il faisait 60 mètres par 40 mètres.

Suite dans château.