Installation en cour.

Ceres est arrivée dans la nuit, elle a vu sur la tour nord, sa maison ne semble pas très grande, cependant il y a pas mal de place, elle a aménagée une salle pour ses cours, une seconde pour écrire (et oui car l’une de ses passions et aussi l’écriture), une troisième pour accueillir les personnes de marques (et les invités -> amis), une chambre où se trouve 10 petits matelas avec oreillés et couvertures, ainsi qu’une chambre possédant un grand lit deux place, et une cuisine avec une multitudes d’objets tous aussi utiles et aux formes étrange les uns les autres.
Il y a peu de meuble, cependant, cela donne un effet de grandeur, se qui donne un effet plutôt luxueux, la salle pour les cours s’avère être la première salle, elle est aménagée de quelques petites tables et cousins (pour s’asseoir et écrire sans se faire mal au dos), ainsi qu’une table un peu plus grande pour là où Aasternian c’est réservée sa place de professeur. Le salon pour les invités est dans une autre salle, il est plus petit que la salle de classe mais peu tout de même contenir pas mal de monde, il est assez mignon, le papier peint de couleurs blanc avec quelques touches de blanc donne un coté apaisant, il y a une table de style japonais avec les cousins requis pour le confort, il y a de quoi faire du thé, ainsi qu’une boite de gâteaux sec avec caché sur une armoire, une boite de bonbons,( le salon a quelques meubles, quelques commodes, une armoire ,…), la chambre possède une armoire et une commode.
[Enfin je vous passe les détails.]


Aasternian est en partie fatigué, mais elle est suffisamment heureuse d’être arrivé a Saïsha sans encombre qu’elle en retrouve de l’énergie. Quoi qu’il en soit il va bien falloir qu’elle fasse preuve d’énergie car cet après-midi elle à rendez-vous pour prévenir de son projet en Saïsha, elle espère pouvoir recevoir de l’aide pour trouver des élèves rapidement ou au moins un commentaire tel que « Bonne idée » ou « Merci », voir même « Vous en avez du courage ! »,
* Enfin pas la peine de rêver non plus… *, Aasternian c’est donc préparée, son rendez-vous est pour 14 heures par conséquent elle a le temps.

« Voici donc la cité de Saïsha, c’est une splendide cité, j’irais y faire un tour une fois que je serais prête. »

*N’empêche j’imagine déjà les enfants qui viendraient imaginant que c’est une vieille femme qui va leur apprendre pleins de trucs ennuyants, et surprise ! Et non c’est une jeune femme, et pas si horrible que sa, j’espère au moins rendre leurs cours intéressants. *

Elle va passer tous son temps à ranger et préparer les affaires en oubliant complètement son repas, elle partira en avance pour son rendez-vous,

*Bien tout me semble se passer comme il se doit, j’espère avoir fais bonne impression, enfin il me semble que oui (elle rit intérieurement en repensant à la phrase qu’elle avait entendu en descendant du troisième étage).*

Aasternian se déplace dehors, elle regarde les passants, regardant un peu tout se qu’on peut bien trouver en cette cité, après tout elle est reconnut pour sa diversité en toutes les matières.
Puis elle rentre laissant la porte ouverte pour aérer, elle prend de quoi peindre et se met dehors, elle regarde un peu la tour nord et commence à la peindre, à la différence qu’elle laisse deux places centré sur le tableau, où elle semble patienter le temps de mettre autre chose. Elle jette de temps en temps un petit coup d’œil aux passants.

Après dix minutes, elle s’arête de peindre, elle semble réfléchir, se met alors à chantonner à voix basse une petite chansonnette, assez douce et mélancolique, cependant les paroles ne sont pas du langage courant (mais vampirique pour ceux qui s’y connaissent), elle semble être ailleurs, elle regarde un couple non loin qui regardent la vitrine d’un magasin, elle se met à les peindre l’un l’autre,

En réalité en fond de tableau se trouve le haut tour avec les nuages, puis en avant se trouve sur la gauche le visage de la jeune femme de profil souriant tendrement en regardant dans les yeux le visage de profil de l’homme au sourire bienveillant, ils se tiennent les mains, il lui fallut une heure pour en arriver à ce résultat, puis elle se leva en attendant qu’elle sèche, alla voir les deux personnes qui parlaient, en les ayant écouter elle avait comprit que c’était l’anniversaire de mariage des deux personne et que le jeune homme cherchait un moyen de lui faire plaisir, cependant elle est très difficile à satisfaire…

« Excusez-moi « , les deux personnes se tournaient vers elle, la jeune femme eu un léger regard du style (« pas touche c’est MON époux »),

« Sur le moment je ne savais pas quoi peindre et je n’ai pas pu m’empêcher de vous peindre, je suis vraiment désolé, donc aux lieux de m’en débarrasser je voulais savoir si vous la vouliez. »

« Et bien ma foi, pourquoi ne pas nous montrer », dit l’homme.
Aasternian les emmena jusqu'à sa toile et observa leur réaction, qui lui fut très plaisant d’ailleurs.

« Waaaaa, c’est vraiment magnifique/Splendide », Disent-ils en cœur, la femme avait mit sa main droite sur sa bouche bé, elle retenait ses larmes tellement elle était touché, et le jeune homme les yeux brillant regardait les détails de la toile et contemplé le visage peint de son épouse,

« Elle ne sera jamais aussi belle qu’en réalité, mais je dois avouer qu’elle est plutôt réussite », dit celui-ci,

*Tu parles, elle est plus belle sur le tableau, normal elle sourit contrairement a tout à l’heure…*

Par la suite ils essayairent de s’arranger pour lui acheter au lieu qu’elle leur donne mais elle refusa, elle réussit à leur offrir, le couple partit tout heureux, se tenant par la main amoureusement,
C’est déjà un problème de moins pour cet homme et un caprice en moins.
Elle regarde les passant, debout une main sur un poignet d’amour, les cheveux au vent.

Par la suite Aasternian partit manger en ville, après être rentré elle partit se coucher, à la fois par fatigue et par son impatience du lendemain dans l'espoir d'avoir une reponse.

*Il n'est pas très tard, tout juste 9h, cependant je n'ai plus grand chose à faire et dormir me permettra de faire passer le temps plus vite.*

Puis elle s'endormit, et son rêve commença.

Aasternian est dans un desert, du sable à perte de vue, il n'y a qu'elle et un arbre a coté d'elle, c'est un orané, elle cueille une orange, la regarde un peu, la met contre son coeur, puis le décord change, elle se trouve dans la même position dans un marché de Saisha devant un étalage de fruits, elle regarde le vendeur, elle n'a plus l'orange avec elle, elle demande une orange,
"Trois pièces de platines s'il vous plait.", elle les donne sans vraiment se rendre compte de se qu'elle a fait puis elle commence à partir, quand elle arrive devant chez elle, elle regarde l'orange, se rappelle qu'elle a payer pour l'avoir, elle se dit avoir fais une affaire," une orange sa n'a pas de prix" se dit-elle, puis frustré tout à coup, elle retourne voir le vendeur, celui-ci qui a déjà pus profiter pleinement de ses trois pièces de platines.
Elle lance l'orange dans la tête du vendeur,

"S'il faut payer afin d'avoir votre orange, je n'en veux pas ! Garedr vos pieces de platines !", elle part frustré. Elle est chez elle toujours dans Saisha, un brouillard à forme humaine la prend par la taille lui tendant une orange, Aasternian sait que c'est un homme et qu'il l'attire, il lui offre une orange, puis ils commencent à danser, ils se retrouvent alors parmis d'autres danceur dans une taverne, la danse s'arette, ils se regardent tout deux, elle lui offre une orange et tout deux rentrent en leur coeur leur orange, en suivant l'orange qui va dans le coeur de Aasternian, on vois le souvenir de cette danse dans un cadre d'or, et l'on ressent qu'un sentiment nouveau est né.

Aasternian se réveille tendrement par le soleil, légèrement frustré par l'incompréhenssion de son rêve. Elle se lève et se change.
Elle fait bouillire de l'eau tandis qu'elle prépare des boullettes de rits au porcs, une fois les boullettes de porcs terminées, elle les laisse refroidir sur la table de la cuisine, et se prépare du thé avec l'eau chaude, elle ouvre la porte, se pose debout contre celle-ci et boit son thé.

*Pourvus que mon projet fonctionne !*

(Avec l'accord de Mr Stelliot Arkan, contacté le jour même. N'ayant d'accés au PC je m'en charge ^^)

Alors que Aasternian venait de finir son thé, elle rentra dans sa cuisine afin de déposer la tasse.
Elle avait retrouvé un certain calme, et trouvé un peu plus de logique à la moitié de son rêve, selon elle, c’était Sora le vendeur, et l’orange était son amitié ou bien la confiance aveugle, Sora qui l’avait utilisé afin de s’enrichir discrètement (Sora lui disait quand elle était plus jeune qu’elle manquait d’argent, alors généreusement Aasternian lui donnait des objets de valeurs à revendre pis des pièces d’or par-ci par-là, le montant estimé doit être d’environ trois pièces de platines, cependant Aasternian ne les réclama jamais), Aasternian avait rejeté Sora récemment, elle lui avait dit qu’elle ne voulait pas d’une personne qui profite d’elle et qui se dit « une amie ».
Aasternian avait mieux compris cette partie de son rêve, mais quand à la suite, cela resta un mystère. Elle avait tout de même envie de se changer les idées, alors elle rangea la salle principale de façon à avoir de la place, elle laissa les porte ouverte (pour aérer, de plus, sentir le vent sur nous quand on danse est très agréable).
Elle se mit au centre de la salle, et commença sa danse.
Danse plutôt dynamique, elle lui permettait de se défouler dans la normal, de se changer les idées, cependant sa réflexion sur la signification de la suite de son rêve l’empêché de se lâcher.

Stelliot s’ennuyait, il marchait les mains dans les poches, regardant les différentes maisons et magasins, puis il passa devant une maison aux portes ouvertes (celle de Aasternian), il y vu une jeune femme qui dansait, enfin danser, c’est un bien grand mot, car cela ressemblait plus à un échauffement,

*Elle réfléchit de trop, de plus il n’y a aucun sentiment qui ressort de cette danse, et ses mouvements sont bien trop simples à anticiper. Ha ! Les femmes ! Il faut toujours un chevalier pour les secourir.*

Stelliot rentra dans la maison comme si cela était naturel, Aasternian ne se rendit même pas compte de sa présence. Stelliot se plaça derrière elle, et, alors qu’elle faisait un mouvement en arrière, il l’a prit par la taille avec son bras gauche en passant par sa droite, et lui prit la main droite :

« Voyons jolie jeune femme, se n’est pas ainsi qu’il faut danser », il la fit faire quelques pas en avant,

« Il faut que vous laissiez votre tête en paix, et que vous laissiez ressortir votre cœur. », par réflexe Aasternian tenta de lui donner un coup de pied, cependant celui-ci s’en empara et l’inclina en arrière, la danse ne faisait que commencer, elle se transforma petit à petit en un mélange de différentes danses toutes plus dynamique les unes que les autres, et durant leur dans ils purent entamer une conversation,

« De bien jolie jambe, digne d’une artiste, mais tout autant d’une courtisane de haut rang. »

« Je…sa suff…lach…hé ! Vous… », Elle ne pouvez guère en dire plus, car Stelliot l’en empêchait en lui faisant faire des figures des plus en plus compliqué,

« Et quel voix ! En effet vous devez être unique en votre genre, un mélange plutot incroyable, la beauté, la voix , le physique d’une courtisane et (i esquiva un coup de genoux et de coude) artiste pour votre caractère unique, rebelle et surprenant , voir même (il la fit s’arrétter un instant en face de lui) captivant ! », Aasternian fut forcé à se remettre à danser, elle était surprise par le mot captivant, elle n’arrivait plus à réfléchir, les yeux du jeune homme lui donnait une étrange impression, elle ne réfléchissant plus, elle avait l’impression de planer, elle faisait une danse vraiment des plus belle avec lui,


*Qu’est-ce qui m’arrive ? J’ai l’impression de voler, son sourire m’agace, je n’aime pas se genre de séducteurs qui se croient tout permis, mais… ses bras m’apaise, quand à son regard, j’ai l’impression qu’il lit en moi comme dans un livre ouvert.*

Stelliot la fit tourner sur elle-même plusieurs fois la lâchant petit à petit, puis brusquement il s’éloigne d’elle et se retrouve à la porte avec son sourire charmeur, surprise Aasternian s’arrêta de danser et le chercha du regard, quand elle le vu elle ne pouvait s’empêcher d’avoir l’air surprise,

« Voyez comme vous êtes belle quand vous faites ressortir vos sentiments au lieu de votre tête, je ne vous dit pas que vous ne devez pas penser, mais que vous ne devez pas oublier de ressentir, sur-ce, je vous abandonne à vous-même »,

« Avant que vous ne partiez ! », s’exclama celle-ci,

« Oui ? », il ne sembla pas satisfait mais curieux étrangement,

« Pourriez-vous me donner votre nom jeune inconnus ? »

« Si je vous le disais je ne serez plus votre jeune inconnus, cependant vous me le demandez avec tant de gentillesse que c’est d’accord, je me nomme Stelliot, puis-je à mon tour entendre celui de la jeune femme avec qui j’ai partagé cette danse ? »

« Ma foi…non ! (Il fut surprit, mais ne laissa ressortir qu’une certaine curiosité) Vous n’en avez guère besoin, mais vous le saurez suffisamment tôt. »,« C’est-à-dire ? », perdant un peu son air séducteur, tout en laissant un étrange coté charmant et joueur,

« Et bien pour ma plainte. », (vous savez se que sa fait quand on désoule brusquement ? ba voila quel fut la réaction de Stelliot)

« Pardon ??? »,

« Et bien oui, vous vous êtes introduit chez moi sans permission
(*et vous vous êtes joué de moi*) »,

*J’espère qu’elle rigole là…pour une fois que je suis sage …*

« De plus vous m’avez insulté. »

« Votre égaux est bien grand jeune femme, j’ai dit que vous étiez belle, que votre voix était agréable à entendre et votre caractère captivant, pardonnez moi si je n’ai pas dit que vous étiez tel la déesse des déesse de par votre charme et voix mélodieuse qui ne vous rend que plus étincelante, cependant si j’avais di cela, j’aurais mentis, voyons c’est bien d’écouter mes conseils, cependant je vous avez pourtant dit de ne pas oublier d’utiliser votre tête, reprenez vos esprits très chère. » , Aasternian rouge de colère alla vers lui pour le frapper, cependant en essayant de le frapper, celui-ci lui attrapa le bras, l’immobilisa, et mit son visage,

« Et en plus vous m’agressez !!! », des passants regarde un peu étonné ne sachant si il faut intervenir ou non,

« C’est vous qui venez de m’agresser je ne fais que me défendre », il eu un visage soudain sincère, son regard était profond, cela mit tout à coup Aasternian mal à l’aise,

« Votre nom », elle rougit, cette fois ci plus par gène que par colère (colère qui c’était soudainement évaporé),

« Aasternian… »

« Alors à bientôt délicieuse Aasternian », puis il déposa un baisé sur son front, s’éloigna par un saut, lui fit un clins d’œil et reprit sa route.

*Stelliot… drôle de nom…j’espère pouvoir le revoir…qu’est-ce que je raconte moi ??? Ce n’est qu’un idiot qui… (Elle repense à la superbe danse qu’ils ont fait ensemble)...Il ne manque pas de toupé! Stelliot, se nom ne me dit rien, peut-être que, je devrais me renseigner… juste pour savoir si je dois porter plainte…c’est tout…*, alors qu’elle se mentait à elle-même,

*Aa-ster-nian, sympas comme nom, mais quel peste ! Elle n’a pas arrêté d’essayer de ma frapper, j’ai bien crus qu’elle allait me briser la mâchoire avec son coude à un moment, elle est jolie, mais elle a des épines ! J’aime beaucoup son caractère, cependant, elle est vraiment idiote…porter plainte… quel idée… j’espère qu’elle n’était pas sérieuse…*

Description : Il doit avoir quatorze ans, vêtu de la robe bleu pastel des étudiant de l'Académie de Saïsha. De taille moyenne, légèrement enveloppé, il a des cheveux blond platine coupés au bol et des yeux bleu foncé. Il porte une sacoche en cuir qui semble lui peser des tonnes et un foulard vert et brun autour des épaules.

Le jeune élève de l'Académie arriva alors que la jeune femme cria "Et en plus vous m'agressez !!!" Ne sachant comment réagir, il chercha des yeux un gardemage dans la rue, mais il n'y en avait pas. Il se dit intérieurement qu'il n'aimerait pas à avoir à se servir de ses facultés maintenant, il n'avait pas encore assez étudié pour utiliser ses talents en situation réelle. Un peu hésitant, il préféra regarder comment évoluait le conflit pour intervenir. En réalité, son esprit ne faisait que gagner du temps avant de prendre une décision qui pourrait être lourde de conséquences. Il réfléchit pendant tellement de temps que lorsqu'il sortit du dédale de ses pensées, l'homme partait d'un pas assuré. Il s'approcha lentement de la jeune femme, les joues rouges, légèrement gênée, qui regardait le dos de son visiteur mais dont les yeux semblaient plutôt dans le vide. Prenant l'air le plus humble possible, il leva la mains devant ses lèvres alors qu'il se recroquevillait dans ses épaules. Tentant d'attirer l'attention de la jeune femme qui paraissait en pleine réflexion, il dit, d'une voix timide : "Heu, excusez-moi, il se hasarda à un : mademoiselle ? Je... J'ai quelque chose pour vous."

Elle se tourna vers lui, ses yeux étaient perçants, elle semblait un instant pouvoir lire à travers lui, puis elle regarda le papier l’air surprise, un sourire plutôt doux se dessina sur son visage,

« Oui ? Humm bonjour, qu’est-ce que vous m’apportez là ? (Elle le regarda un peu mieux, et lui fit un sourire amusé) ne t’inquiète pas je ne vais pas te manger. »

Sur le moment elle n’espérait qu’une seule chose, que se soit la lettre qu’elle attendait tant, et si c’était cela, elle comptait déjà prendre la lettre après l’avoir remercié d’avoir fait tout se chemin, se poser contre la porte pour lire et lire à voix basse, elle était à la fois impatiente et à la fois inquiète (d’être déçue), cependant elle n’en laissait rien ressortir, elle ne montrait qu’un délicieux sourire, avec en son regard un petit quelque chose de plus, comme si elle était sur le point… (DE LE DEVORER SI IL LUI DONNAIT PAS SA LETTRE A LA *BIP*) Hum hum, je voulais dire comme si elle était sur le point d’entrer en son esprit pour tout savoir tellement son empressement était grand.

« Euh, voilà, voici votre courrier. » Dit-il très vite, en se dépêchant de fouiller dans sa sacoche. Il fit maladroitement tomber d’autres parchemins qu’il s’empressa de ramasser puis sortit enfin de sa grosse besace une lettre cachetée du sceau de la cité Saïsha, qu’il tendit à la jeune femme avec un sourire gêné. Voilà ce qui était écrit dans ce courrier :



"Mademoiselle Ceres Aasternian

Votre projet d’améliorer l’éducation de la jeunesse de la cité est une idée formidable et la proposition de la faire gratuitement montre votre altruisme. C’est avec plaisir que je vous remet le permis ci-joint qui vous permettra de commencer votre activité en toute légalité. Vous recevrez de temps en temps la visite d’employés de la Confrérie qui vérifieront votre travail, mais ils ne seront plus nécessaires dès que vous aurez fait vos preuves. En outre, il vous est toujours possible d’obtenir des subventions sous la forme d’aménagements spatiaux, d’achat de matériel ou autre denrée utile à l’éducation.

Conscient de votre dévouement et de votre engagement, j’espère que vos débuts se passeront pour le mieux. Je vous enjoins à contacter dès maintenant les familles autour de vous pour leur expliquer votre idée, je suis sûr que vous aurez tout de suite du succès.

Je vous prie d’agréer, mademoiselle, l’expression de mes sentiments distingués.

Ceres prit le courrier lui étant adressé, elle le prit s’assit sur une chaise a l’entrée, et la lit, au fur et a mesure qu’elle lisait un sourire se dessinait sur ses lèvres, elle se releva, se mit en face du jeune homme, le regarda,

« Merci beaucoup de m’avoir transmis se message, puissiez-vous passer une bonne journée, et n’hésitez pas à passer me voir, la prochaine fois je vous offrirais le thé », elle le salut, puis elle reprit son visage habituel, rentra à l’intérieur, rangea le courrier en lieu sur.

Puis elle sortit quelques affaires, elle sortit des toiles qu’elle avait faites, elle les installa alors sur le tableau d’affichage de chez elle :

(Je vous les mettrais plus tard, problèmes pc pour les images)

Par la suite trois petites fée d’eau (images pour plus tard), elle mesure 10cm de hauteur, plutôt fine, se sont envolé, elle parte voler à travers toute la ville avec quelques cartes, chuchoter aux oreilles de quelques enfants et parents qu’une école vient d’ouvrir et qu’elle s’avère gratuite, elles distribueront aussi quelques cartes montrant l’emplacement dans la ville.

Ceres restera en méditation durant quelques heures le temps que les fée aient fait du bon travail, se n’est que par la suite qu’elle ira faire un tour en ville pour partir chercher de quoi fêter cela.

->Grand-place des poissoniers

Revenant des courses :

Une fois rentrer chez elle, elle rouvrit les porte en grand, faisant attention de ne pas toucher le fil d’entré sur lequel sont accroché plus loin des petite clochette qui préviendraient si jamais une personne venait à rentrer.

Elle partit dans la cuisine, où après avoir sortit le poisson et rangeait ses affaires ( elle avait acheté différentes choses, des biscuits, des lentilles, de la viande, quelques bonbons, et quelques vêtements de rechanges simple aux cas où) *Si avec tout sa il me manque quoi que se soit, je me demande bien quoi, déjà que j'avais ramené pliens d'affaires en arrivant, alors là c'est sur j'ai tout !*, elle commença à faire bouillir du riz à la vapeur.

Elle trancha de fine tranche dans le poisson, retirant les arêtes, et vérifiant avec persistance qu’il n’en reste pas une seule, puis elle mit le poisson dans une huile spéciale, elle le ressortit, et le posa sur le papier (spécialemnt fait pour poser la viande).
Elle patienta le temps que le riz soit près, (elle lu un peu dans la salle principale où les autres pourraient la voir de l’entrée), elle se releva, récupéra le riz, lui fit prendre la forme de différents petit sushi, puis elle y ajouta le poisson, elle remit le tout dans un plat où la vapeur du plat pourrait terminer le travail. On pouvait sentir l’odeur des sushi de dehors se qui donnait vraiment envie de se régaler au plus vite.
*Haaa, j'ai faim...* (pensa t-elle en se mordant délicatement la lèvre inférieur)

Pendant que le plat refroidisse et donc qu’il soit achevé, elle se mit à l’entrée, regardant les passants, un livre à la main, soupirant une fois et se remit alors en sa lecture, assise sur une chaise.

La douce odeur du repas se faisait sentir jusqu'à dehors, Ceres qui était entre temps rentrée alla ranger son repas dans un panier,
*Etant donné que je n’ai pas cour aujourd’hui je peux me reposer, voir même aller pique-niquer. Hmmm j’adore les sushi !!!!! C’est vraiment délicieux !*.
Quand Norvan tira la cheville de la porte un petit bruit de clochette se fit entendre, Ceres alla voir, elle se dirigea vers la porte, et ouvrit celle-ci en grand, * Des parents de futurs élèves?!? *

« Bonjour messire, que puis-je pour vous ? », elle le salua en hochant la tête et faisant signe de rentrer en même temps qu’elle ouvrit la porte. Elle avait un regard accueillant, elle avait un très léger sourire, et ses vêtements étaient assez innovants, cela montrait clairement son goût pour l’art, sans parler qu’elle porte toujours son chapeau hors du commun (qui fait bien étrange pour certains).

La pièce d’entré est assez grande, en fait cela est plus grand qu’il n’y parait de l’extérieur, la salle d’entrée ne comporte que quelques meuble contre les mur, laissant le centre vide (parqué de couleur ébène).

Le centaure galoppait, les cheveux au vent, dans la cité de saisha, faisant s'enfuir les chats, et ri et ra et tralala... Non, enfaite il trottait, il y'a quand même des gens sur son chemin... Oh et puis zut, il va au pas, trop de monde...
Il avait une mission, il devait aller voir Cérès de la part du conservatoire, pour un accord, dans le cadre de coopération logistique et tout ça, pour l'aider dans son projet d'école gratuite. Des cours de musique n'étaient pas à mettre de côté. Elle aurait besoin de toute l'aide disponible, et Elandar, ainsi que tout le conseil d'administration, y veillerait. C'est pour cela qu'il se dirigeait dans la partie Nord de la ville, attirant l'attention des passants, et manquant plusieurs fois d'écraser des caniches nains, appertant à des mémés centenaires en pleine forme, armées de sacs à mains...

Elandar se pointa donc à l'adresse indiquée, il y'avait déja Norvan, qu'il avait déja apperçut quelque part, lui semblait t'il... Il devait être au courant du projet, lui aussi. ou peut être que c'était pour autre chose, dans ce cas, il devrait peut être les laisser seul... Non, il simaginait trop de choses.
Le guerrier entrait. Zut, la porte se referme. Le centaure musicien avance, frappe trois coup à la porte de l'enseignante. Il atend.

*J'éspère que mes pattes ne vont pas la déranger, c'est que c'est pas très génial pour les parquets ces choses la...*

Ceres n’avait pas reconnut Norvan sur le coup, il lui rappelait vaguement quelque chose, elle l’accompagna jusqu'à la salle d’a coté où elle lui proposa de s’asseoir, l’odeur des sushis était toujours aussi délicieuse, décidément il était dur de se retenir, puis l’on frappa à la porte,

« Humm ? Quelqu’un d’autre ? (elle se tourna un instant vers Norvan) Un instant je vous prie », elle se dirigea à nouveau vers la porte, elle ouvrit la porte,

*Décidément quand des personnes doive venir, elles viennent toutes en même temps ou quoi ? J’ai à peine eu le temps de manger moi…*

« Bonjour », elle lui ouvrit la porte, elle s’arrêta un instant à le regarder l’air surprise, mais lui faisa signe d’entrer, se n’était pas la première fois qu’elle voyait un centaure, elle trouvait que s’il y avait une créature vraiment incroyable en se monde, et bien c’était la race des centaures, ils étaient comme des créatures sortis tout droit de ses rêve d’enfant.

« Que puis-je pour vous noble centaure ? », dit-elle tout en lui faisant la révérence, un léger sourire en son visage.

*Un…cen-taure… quel beauté ! Quelle élégance ! Quel être incroyable !!! …Cela faisait longtemps que je n’en avais vus…*
Ceres le regardait avec un air remplit de tendresse, son sourire aussi léger soit-il était bienveillant.

Elandar regarda rapidement Cérès, une belle femme, élégante, avec une odeur de poisson, sans doute était-elle en train de cuisiner.
Il entra. Il fut un peu amusé de voir l'admiration qu'il sentait en la jeune femme, mais il fut aussi flatté. Cela valait mieux que le contraire. Il lui sourit, puis, faisant une révérence lui aussi, il répondit:

-Bonjour à vous, je me présente, Elandar, prof au conservatoire du crâne rouge. Il s'avère que j'ai entendu parler de votre projet, par l'archimage en personne, et que j'en ai touché deux mots au conseil d'administration. Et bien, je puis dire dire que cela intéresse notre établissement, et que nous sommes prêt à vous accorder votre aide. Je suis donc venu ici pour vous faire part de notre décision, et puis d'établir les terme de notre coopération. Puis, ajoutant ce qu'il pensait être un trait d'humour: je vous prie d'accepter, mademoiselle, au nom de toute l'administration, l'expression de nos sentiments les meilleurs.

Le centaure reprit son souffle, examinant les alentour, sentait une odeur délicieuse qui semblait provenir d'un endroit proche, il ne put se retenir de humer l'air avec déléctation.

*Miam, ça donne faim tout ça, j'éspère qu'elle va me proposer quelque chose à manger... Enfin, ne perdons pas le but de la mission. N'empêche, ça sent super bon.*

Elle écoutait avec attention les dires de messire Elandar, elle semblait plutôt surprise, puis comme soulagée,

« J’ai entendus parlé du crane rouge par une amie, elle n’en a dit que du bien, je dois avouer que je ne m’attendais pas à une si bonne nouvelle, car en réalité je souhaite permettre aux élèves de pouvoirs développer chacun leurs talents et passions artistiques, hors j’avais assez peur de ne pas être assez à la hauteur en se domaine, et puis je suis très flatté que l’archimage en personne vous est parlé de moi. Et bien si le conservatoire du crane rouge propose ses aides, en se cas je ne peut qu’accepter. Se sera avec soulagement et un grand plaisir que j’accepte. J’ai en se moment même un second invité, mais vous pouvez venir vous joindre à nous. », elle commença à se diriger vers la salle où se trouvait Norvan en faisant signe à Elandar de s’y installer, elle alla dans une autre pièce un instant (la cuisine : elle regarda son panier repas de sushis un instant, l’air hésitante, et vérifia la chaleur *Encore deux minutes et se sera prêt*, elle prit quelques noix de cajous qu’elle mit dans un bol et prit le journal), à son retour elle s’assit, plaçant les noix de cajous sur la table, ainsi que le journal qu'elle posa en bout de table (pour information il y a déjà des fruits bananes, pommes, et oranges )

« Alors messire que puis-je faire vous concernant ? », dit-elle en se tournant vers Norvan.

Ceres regarda celui-ci qui semblait plus attiré par la beauté de la pièce que par ses dires :
La pièce est sur le thème de la nature, il y a la table qui a une forme de feuille, et sur le mur en face de notre centaure, c'est-à-dire derrière Ceres, se trouve des fleures déversent faisant un mélange de couleurs (étant plutôt espacé), avec un style très classe, le tout coincé en du verre bleuté, on croirait que les plantes sont en parfait état en étant gelées. Les différents meubles sont de très bonnes qualités et très beau, on voit qu’elle aime l’art. Pour info dans cette pièce il y a de la moquette, plutôt confortable, et de grands cousins, ici on sembla s’asseoir par terre pour être plus détendu. Il y a même un coussin assez grand pour Elandar.

« Bon… »

Voyant que Norvan semblait plutôt absorbé par le style de la pièce ou par l’odeur des sushi, elle se tourna vers le centaure,

« Je dois avouer que votre visite m’a surprise, voulez vous que nous réglions les termes de notre collaboration ? », en prenant une noix de cajou son regard se tourna vers le journal, ses yeux s’ouvrirent un peu plus, elle s’en empara à grande vitesse, elle avait du mal à s’en remettre le journal parlait d’elle et de l’école, et elle fut bien surprise de voir aussi la façon dont la personne parlait du royaume des cinq joyaux, cette personne devait être très bien protégé, ou… suicidaire… C’est alors que,

« Non… non… j’y crois pas » (chuchota t’elle), elle mit sa main sur son front, puis reposant le journal elle se retourna vers le centaure pour en revenir a la discussion,

« Excusez moi pour mon inattention…vous...vous avez lut le journal se matin ? »


PS: http://saisha.jdrforum.com/le-journal-d-arwen-del-consortium-f106/les-reactions-de-vos-personnages-a-la-lecture-des-articles-t78.htm

Le centaure, qui lui aussi à vrai dire c'était laissé ensorcelé par la pièce et par l'odeur, reprit ses esprits aux paroles de Cérès, l'humain lui, semblait avoir totalement perdu conscience qu'on lui parlait. La jeune femme lui tendait un journal, visiblement bouleversé, surement pas un article du journal.

-Euh... Non, je n'ai pas eu le temps de le lire, d'ailleurs il ne me semble pas que j''en ai entendu parler. Je vais regarder, fit il en prenant le journal que lui tendait Cérès, curieux de savoir ce qui la chamboulait.

Il le parcourut vite fait, sourit à l'article sur le royaume des cinq joyaux en souriant, à vrai dire, tout était juste, même si peut être un peu trop rapide. Il se rappelait qu'il avait vécu plusieurs mois la bas, et qu'il avait pu y vivre sans avoir affaire à l'inquisition, du moins au début, il est vrai qu'à la fin, il avait ét un peu obligé de partir... Il regarda l'article sur Cérès en hochant la tête, c'était pour ça qu'il était la.

Il m'a l'air pas mal ce journal,commenta t'il en reposant le journal sur la table, puis, en regardant Cérès, euh... Quelque chose ne va pas? Est-ce le fait que l'on écrive un article sur vous? Ou l'article sur le royaume des 5 joyaux? Demanda t'il en prenant une pomme et la croquant à pleine dent. Vous pouvez me dire ce qui vous dérange si cela ne vous dérange pas bien sur... Sinon on peut toujours examiner notre accord... Proposa t'il maladroitement.

« Ho ! Ca ira c’est juste que le fait que je vois qu’une personne dénonce ainsi se qui se passe au royaume de cinq joyaux est courageux, mais se qui me dérange est surtout que cette écrivain vie à l’étage au-dessus de cette pièce, l’article sur moi pourra toujours me faire de la publicité, et tant mieux, mais j’ai un peu peur qu’elle est des ennuis, enfin comme toujours je suppose qu’elle va se débrouiller…
Quoi qu’il en soit, pourquoi ne pas examiner notre accord, après tout l’école ouvre demain. », Elle sortira une feuille et une plume sur laquelle tout deux se mettrons d’accord sur les détails (les détails seront signalés prochainement).
Par la suite Ceres remerciera Elandar pour l’aide que lui et le conservatoire du crane rouge lui apporte et l’accompagnera dehors tout en papotant, et avant qu’il ne parte,

« D’ailleurs je m’excuse de demander chose pareille, mais me permettrez vous de vous peindre en toile grandeur nature ? Disons qu’il ne m’est pas souvent arrivé de rencontrer un centaure et j’aimerais en garder un souvenir. Enfin si cela ne vous dérange pas. »

Après avoir signer ce contrat et être sorti, la question de Cérès qu'entendit Elandar le prit un peu au dépourvus.

*Alala, ces humains... Ils voient un centaure et ça y'est pour eux c'est comme si on était des dieux vivants, la beauté incarnée, et j'en passe... Parfois j'ai l'impression d'être une bête de foire... Oh et puis, pourquoi se poser tant de question? Je vais accepter, après tout, ça n'a jamais fait de mal à personne la peinture...*

Après quelque seconde de réfléxion il répondit que:

-Non, ça ne me dérange pas. Il faut s'entraider entre artiste, ajouta t'il d'un air complice. Et si vous voulez voir des centaures, passez donc justement au quartier centaure, et passez me voir à l'occasion... Sinon, sachez que vous êtes la bienvenue au conservatoire.

Le centaure la salua, et parti. Sa mission était accomplie, et en plus, il aurait l'honneur de se faire peindre... Il sourit en songeant à cela, tout en revenant au conservatoire.