Torasha RPG : la Confrérie de Saïsha
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 Maïwen Elmillian

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Maïwen Elmillian

Maïwen Elmillian


Messages : 3
Date d'inscription : 05/09/2009

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MessageSujet: Maïwen Elmillian   Maïwen Elmillian Icon_minitimeVen 12 Fév - 22:55

Nom : Elmillian
Prénom : Maïwen
Age : 20 ans
Race : Centaure


Physique :
Maïwen est une jeune femelle centaure fine, élancée et gracieuse. Ses longs cheveux lisses lui tombent en cascade sur ses épaules. Ils sont de couleur turquoise, tout comme ses yeux, ce qui est bien rare parmi les siens. Ses pattes longues pattes musclées et robustes soutiennent un corps puissant, endurant, taillé pour la course et le combat. Deux fines oreilles, mélange harmonieux de celles d’un cheval et d’un humain, encadrent son visage, et un doux duvet blanc les recouvrent pour les protéger du froid. Ses oreilles bougent au gré de son humeur, très mobiles, comme celles des chevaux. Des courbes de sa partie humaine émanent grâce, force et harmonie. Son pelage et sa queue immaculés rappellent la neige. Ses pattes se terminent par des sabots argentés, caractéristiques de sa lignée.
Le plus souvent, Maïwen se vêtit d’une veste en soie, bleue et blanche avec, qui protège du froid, mais qui ne tient pas trop chaud. Il lui arrive de porter une couverture durant l’hiver, pour protéger son corps équin, mais n’étant pas frileuse, elle se contente d’un noble vêtement qui recouvre sa partie humaine, plus sensible aux caprices du climat. Maïwen ne se sépare jamais, sauf exceptions, de son arc, un présent de son défunt maître. Elle le porte en bandoulière. Elle attache son carquois à son flanc gauche, car même si elle était ambidextre dans le maniement des armes, elle préfère tirer à l’arc de la main droite. Sur son flanc droit elle porte une sacoche en peau, dans laquelle elle range ses contrats, ainsi que sa flûte, et divers autres choses. Deux longues dagues, installées sur ses flancs, l’accompagnent toujours. Elle les utilisent pour le combat rapproché, même si ses sabots sont déjà des armes redoutables. On ne sait jamais. Lorsqu’elle se bat, elle porte des jambières en un métal solide, résistent mais léger, ce qui lui laisse une liberté de mouvement idéale ; quant à ses cheveux, elle les relève à l’arrière avec un bandeau, et attache les mèches qui lui encadrent le visage avec une ficelle. Elle porte dans sa crinière une sorte de barrette, tout ce qui lui reste de sa famille.

Caractère :
Maïwen est de nature plutôt solitaire et taciturne, même si elle ne dit pas non à la compagnie. Toutefois elle se montre très sociable envers ceux qu’elle apprécie. En revanche, franche, elle fait tout de suite comprendre à une personne indésirable qu’il vaut mieux la laisser en paix. Maïwen ne parle pas beaucoup, c’est son corps qui expriment son humeur (n’allez pas vous imaginer des choses !). Par exemple, lorsqu’elle est énervée, ses oreilles se couchent et elle frappent le sol de ses antérieurs, tout en remuant sèchement la queue. Sincère, elle dit toujours ce qu’elle pense, sans retenue, lorsqu’on lui demande son avis. Elle se renferme dès qu’on parle de son passé. Elle n’aime pas rouvrir des blessures déjà mal cicatrisées. Bien qu’elle puisse paraître dure d’un premier abord, elle s’avère ensuite, lorsqu’on la connaît mieux, une personne compatissante, honnête et généreuse (toutefois avec des limites). Lorsqu’elle a peur, en particulier en cas de surprise, Maïwen réagit comme ses cousins équins : elle fait un écart ou se cabre, en poussant un cri de surprise, les oreilles couchées. Elle n’est ni peureuse, ni lâche, bien au contraire, simplement, il lui arrive de se faire surprendre, même si elle est une guerrière émérite.

Objets Magiques :

- Une petite flûte traversière en bois, offerte par son maître peu de temps avant de mourir. La mélodie cristalline qui en sort enchante l’eau et/ou le sable à proximité, qui se met à « danser » sous la forme que Maïwen désire. Elle lui sert surtout à se divertir et à ses débuts, elle lui faisait gagner de l’argent. Pour rien au monde elle ne l’abandonnerai. Elle la porte toujours dans sa sacoche.
- Sa barrette : elle lui sert d’amulette, pouvant la protéger contre la magie, seulement elle puise dans l’énergie de Maïwen. Et bien sûr elle ne peut pas la protéger complètement de la magie d’un maître et d’un grand maître. Elle ne fera que l’atténuer, dans la limite su possible. Maïwen la porte toujours dans ses cheveux.


Histoire :
« Tout le monde criait. La magie fusait dans tous les coins et les recoins de son village. La pluie se mit à tomber, comme pour renforcer ce désastre. Ou alors était-ce l’œuvre d’un magicien. Maïwen n’en savait rien. Et elle ne voulait pas le savoir. Elle voulait revoir son père, qui était parti pour défendre son peuple. Soudain, sa mère l’attrapa par les épaules ;
- Cours, ma chérie. Galope aussi vite que le vent. Sauve-toi !
- Non, Mère ! Je ne veux pas te laisser ! Où est Père ?
- Ton père va bien ma chérie. Il nous protège. Sauve-toi ! Je vais couvrir ta fuite.
- Non. Tu viens avec moi.
Sa mère hésita, mais dans l’urgence de la situation, elle décida d’écouter sa fille pour la protéger. Si elles continuaient de tergiverser la dessus, son enfant allait se faire tuer. Alors elle lui prit la main et ensembles, elles galopèrent, aussi vite que les petites pattes de Maïwen lui permirent. C’est alors que sa mère poussa un cri de douleur et trébucha, une flèche plantée dans son postérieur droit. Elle ne pouvait plus courir dans cette état. Maïwen stoppa net et retourna sur ses pas.
- Mère ! Relève-toi ! ordonna-t-elle en la tirant par la main. Mais sa mère était incapable de se redresser sur ses quatre pattes.
- Je ne peux pas, ma chérie. Ma fuite s’arrête ici. Sauve-toi, ma pouliche ! Sauve ta vie, tu dois vivre !
Maïwen pleurait. Sa mère aussi. La jeune centaure comprenait ce que sa mère venait de lui dire. Elle lui disait qu’elle allait mourir. Ici même, en tentant de couvrir sa fille. Et Maïwen ne pourrait rien y changer. Alors elle s’accroupit sur ses genoux pour embrasser une dernière foi sa tendre mère. Celle-ci posa sa douce main sur sa joue. « Sauve-toi, ma pouliche, vas t’en… » Une flèche vint se planter dans son dos, la tuant sur le coup. Alors Maïwen, accablée, mais respectant la dernière volonté de sa génitrice, elle courut, galopa aussi vite que le vent. Pour sa mère. Pour ses parents. Qu’elle ne reverrait jamais. »

Maïwen Piédarjan est la fille de Sélenda, une noble centaure, et de Fédan, surnommé Piédarjan, le chef de son clan. Elle avait hérité de sa mère son incroyable crinière lisse et bleue, ainsi que sa robe blanche -son pelage, si vous préférez. Son père lui avait transmis son courage et ses sabots d’argent. Elle avait 7 ans lorsqu’elle perdit ses parents dans une guerre suspecte, entre différents clans de centaures. Elle a fuit son village avec sa mère, pendant que son père les protégeaient. Mais sa mère fut tuée sous ses yeux. Alors elle galopa sans relâche, sous la neige, jusqu’à ce qu’elle tombe d’épuisement. C’est à ce moment précis qu’elle rencontra son maître, Saphir Elmillian. Alors qu’elle était tapie à l’orée d’une forêt, terrorisée, affamée, et épuisée, un homme vint à sa rencontre. Il la trouva dans un tel état de désespoir qu’il fut touché et décida de s’occuper d’elle, bien qu’elle fut une centaure. Il se doutait qu’elle n’avait plus de parents, vu son état de choc. C’est ainsi que le voyage de Maïwen et se son maître commença. Son maître était un sorcier de l’eau et de la terre. Etant au niveau de Maître dans chacune de ces disciplines, il décida de lui enseigner son art. Pendant de longues années il s’occupa d’elle comme un père, il lui enseigna son savoir aussi bien magique que celui du monde, il la protégea contre les brigands, lui apprit à se battre et à tirer à l’arc. Ils parlaient beaucoup, partageaient leurs opinions. Le jour de ses 12 ans, il lui fabriqua un arc et le lui offrit. Pour qu’il soit fière d’elle, elle apprit très vite à le maîtriser. Ils allaient de villes en villes, de villages en villages, proposant leurs services. Ils accompagnaient des caravanes, des voyageurs, pour les protéger, en échanges de quelques pièce d’or. C’est ainsi que son maître gagnait sa vie. Solitaire, il ne restait jamais plus d’un an dans une ville. Parfois, il entrait dans une académie, de magie ou non, pour enseigner. Il en profitait pour inscrire Maïwen. Puis ils repartaient quelques mois plus tard. Cette vie de vagabond convenait très bien à Maïwen. Tant qu’elle restait près de son maître, tout lui convenait. A ses 16 ans, il lui offrit une flûte traversière en bois, qu’il avait lui même sculptée et enchantée. Elle maîtrisa rapidement cet instrument et commença à en jouer dans les villes pour gagner de l’argent. En plus du son cristallin qui s’en échappait, l’instrument, grâce à son enchantement, faisait danser une petite quantité d’eau ou de sable (ou poussière de terre). Elle avait beaucoup de succès. Parfois même on lui demandait de jouer pendant des fêtes d’anniversaire ou de mariage. Elle ne se séparait jamais de sa flûte. Elle était heureuse. Jusqu’à ses 17 ans.

Un jour en effet, alors qu’elle et son maître voyageait seuls, une horde de brigands déboucha de la forêt qui longeait la route. Ils leurs demandèrent d’abord leur bourse, puis décidèrent de s’en prendre à Maïwen –il devait être sacrément en manque pour s’en prendre à une centaure, si vous voyez ce que je veux dire. Alors Saphir, furieux, les attaqua avec sa magie, tandis que Maïwen se débattait à coups de sabots, étant privée de ses armes. Son maître n’avait plus la même agilité que 10 ans auparavant. Il se fit tuer lâchement par un brigand qui l’avait pris par derrière. Maïwen, ivre de haine et de chagrin, les tua tous sans exception. Puis elle s’approcha de son maître à l’agonie qui lui demanda de se rendre à Saïsha, la cité des mystères. Elle lui promit puis il mourut. La jeune centaure lui creusa une tombe, non loin du massacre. Quant aux cadavres des brigands, elle se contenta de creuser rapidement une fosse avec sa magie, puis elle les empila et reboucha le trou. Elle pleura longtemps son cher maître. Après ce drame, elle devint taciturne, méfiante et distante, voyant en chaque humain le briguant qui lui avait arraché son maître, ou bien simplement un danger potentiel. On l’avait privée de son maître, son professeur, son entraîneur. On lui avait arracher son père. Et jamais elle ne l’oublierait. Pour honorer sa mémoire, elle décida de prendre son nom de famille.
Un jour elle décida de se rendre à Saïsha. Elle avait promis à son maître d’y aller, mais elle ne s’y était pas rendu tout de suite. Elle avait d’abord fait son deuil (en partie) et avait gagné assez d’argent pour payer son voyage. Dans un port, elle réussi à se faire embarquer dans un navire en direction de la cité des mystères. Non pas qu’elle ne pouvait pas y aller à pied, enfin, en sabot, mais franchement, traverser des montagnes à cette période de l’année, non merci. Son voyage dura plusieurs semaines. Combien ? Elle n’avait pas compté. Elle passait le plus clair de son temps à l’écurie, dans la cale. Pourquoi ? Premièrement, les marins la regardaient de travers. Inutile de vous dire qu’elle n’appréciait pas vraiment. Deuxièmement, elle n’avait pas beaucoup d’équilibre à la surface du navire, et à chaque fois que le bateau tanguait, elle se rattrapait de justesse pour ne pas tomber. Donc elle se sentait mieux dans les écuries. Elle s’était aménagée un petit nid douillet avec ce qu’elle avait trouvé sur place –de la paille et quelques couvertures. Finalement, après de longs jour de navigation, elle mit pied à terre au port de Saïsha. Elle espérait y trouver un refuge, un enseignement magique, et surtout y faire fortune. Voilà. Elle avait tenu sa promesse à son maître. Elle était à Saïsha.

Remarques particulière :
- Maïwen utilise la magie de l’eau et de la terre –c’est une sorcière de niveau Adepte dans les deux éléments. Elle possède également deux objet magique : une barrette-amulette et une flûte traversière.
- Maïwen combat à l’aide de son arc (offert par son maître), et au corps à corps, elle se défend avec deux longues dagues. Elle porte également une armure légère mais résistante au niveau. Elle se fait souvent employer comme protectrice de convoi –une mercenaire, en quelque sorte.

Comment êtes-vous arrivée sur le forum ?
Il se trouve qu’une amie de longue date, qui se trouve sur ce forum, m’en a parlé. Alors j’ai décidé de jeter un coup d’œil, et ça m’a séduit ^^
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Netari Torunae
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MessageSujet: Re: Maïwen Elmillian   Maïwen Elmillian Icon_minitimeDim 14 Fév - 20:57

Belle présentation, je vais m'empresser de te valider ça sur-le-champ ^^. Désolé pour la faible réactivité, et bon rp sur le forum.
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Arina

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MessageSujet: Re: Maïwen Elmillian   Maïwen Elmillian Icon_minitimeDim 14 Fév - 21:00

"Bienvenue à toi jolie centaure !"
A bientot !


Maître Netari !!! Il y a une belle centaure !!!"

Arina
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MessageSujet: Re: Maïwen Elmillian   Maïwen Elmillian Icon_minitimeMer 10 Mar - 16:45

Je suis impatiente de te voir RP Smile
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MessageSujet: Re: Maïwen Elmillian   Maïwen Elmillian Icon_minitime

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