Arrivé d'une petite fille, houla!

Le bateau marchand étant arrivé,
Arina déscendait du bateau, le marchand avec lequel elle avait parlait durant le voyage lui fit signe de monter dans sa charrette remplit de paille si elle désirait qu’il l’emmène à la cité, elle accourue et sauta dans la paille elle souriait, et le marchand commença son chemin en direction de la ville.
Le temps était magnifique, il y avait un ciel bleu, pas le moindre nuage et une chaleur très agréable.

Sur la route des caravanes :

Une charrette arrive non loin de la ville
« On est arrivé petite », dit le marchand qui conduit la charrette, ne comprenant pourquoi aucune réaction ne venait d’elle et qu’elle ne bougeait pas il va la voir à l’autre coté de la charrette,
La petite fille aux cheveux marron cendre et les yeux fermés est dans la paille, allongée, la peau très blanche, le visage en sueur, qui respirait avec difficulté à l’entendre, elle semble très faible, son front est bouillant.
Le marchand ( grand, brun à l’allure assez imposante avec une petite barbe, vêtu d’une chemise blanche, d’un pantalon de cuir marron et d’une ceinture noir) la regarde inquiet, il regarde autour de lui comme cherchant de l'aide.



Décidemment à peine suis-je arrivé ici que ma tête commence à me tourner, et voila que je m’endors malgré ma douleur au ventre, d’une certaine façon je pense que ce n’était pas une bonne idée de ne pas dormir cette dernière semaine et de manger si peu, pas étonnant si j’ai de la fièvre et que j’ai tant envie de dormir. Enfin je pense que je ne vais pas dormir longtemps…juste le temps…juste le temps de me sentir un peu mieux et d’avoir assez de force pour me trouver un logement et si possible travail… je suis tellement…tellement fatigué…je vais juste un peu….juste un peu…dor…mir...

Un message à transmettre ! On lui avait assigné un message à transmettre ! Les services d'un jeune druide de dix-neuf ans aux puissants pouvoirs du vent se résumaient au transport d'un message ! Mais bon sang ! On était à Saïsha, la cité de toutes les magies ! Et il devait se taper les quarante minutes à pied pour aller porter un message aux gardemages qui surveillaient la route des caravanes ! Il était des fois où Netari ne comprenait vraiment pas les intentions de Damoria. Passablement furieux, il marchait rapidement au milieu de la route de terre et de sable qui sortait de la ville avec la ferme intention de faire comprendre aux destinataires du message que la télépathie, ça existe ! Sans qu'il s'en rende compte, un petit tourbillon de poussière se formait autour de lui, provoquant l'étonnement des quidams qui rentraient et sortaient de la cité.

Oui, bon, d'accord, il n'aurait pas du pousser si loin ses limites. Mais est-ce que cela valait une telle punition ? Depuis une semaine, Damoria lui assignait les corvées les plus longues et les plus ennuyeuses, et il commençait à avoir envie de reprendre l'entraînement. Il n'avait pas une seconde à lui et avait même du faire attendre sa nouvelle élève. Cette comédie avait assez duré ! Il avait presque vingt ans, il était parfaitement responsable de ses actes ! Le pire, c'est que Damoria l'avait menacé de lui retirer sa nouvelle élève. En y réfléchissant bien, il ne l'avait jamais vu dans un tel état de rage. Lorsqu'elle s'était emportée six jours plus tôt, apprenant qu'il avait une fois de plus franchi les limites qu'elle lui avait imposé, elle avait commencé à le sermonner. Netari, excédé, lui avait répondu assez violemment, ce qui avait entraîné la fureur de son maître : sa silhouette s'était auréolée de vert et les petits objets de la pièce ce sont mis à tourbillonner autour d'elle, et elle lui passa un savon monumental, à terrifier un démon. Depuis, Netari accomplissait sans relâche les tâche les plus ingrates.

Soudain, un appel à l'aide le tire de ses sombres pensées : un marchand semble avoir besoin de quelqu'un. Netari se précipite au-devant de l'homme qui le remarque et lui dit :

« Vite, aidez-moi, cette jeune fille a un problème !
- Vous la connaissez ?
- Pas spécialement, je lui avait proposé de l'amener à la cité dans ma charrette et quand j'ai
voulu lui signaler notre arrivée, elle était comme ça ! »

Netari de pencha sur la jeune fille. Il y avait bien entendu des données qu'il ne connaissait pas, mais il était clair -à ses yeux et à la couleur de son visage- qu 'elle n'avait pas dormit ni mangé depuis un certain temps. Parfait, voilà une excellente excuse pour ne pas avoir à délivrer ce message. Non, finalement, il vaudrait mieux aller le porter quand même, se dit-il en imaginant ce que pourrait lui faire Damoria si jamais il recommençait à lui désobéir. Puis il eu une idée, il dit au marchand :

« Écoutez, je suis druide, je m'occupe de tout, elle est en sécurité avec moi. Seulement, il faut, pour qu'elle reçoive les soins adéquats, que je la transporte à l'intérieure de la ville. Portez cette lettre aux gardemages là-haut sur la colline pendant que je la conduit dans un endroit sûr. Il paru réfléchir quelques instants.
- D'accord, mais faites attention à elle !
- Ne vous inquiétez pas, répondit Netari avec un sourire, elle est entre de bonnes mains.

A ce moment, le jeune druide lui donna la lettre (boarf, de toute façon, le message était codé, même lui n'était parvenu à le décrypter) et prit la jeune fille dans ses bras avec la plus grande délicatesse possible. D'un pas rapide, il se dirigea vers les tours de l'Académie qui se dessinaient plus loin, au milieu de la cité, tout en rassurant du mieux qu'il pouvait la personne qu'il transportait :

« Allez, tenez le coup, on va vous aider. »

Le jeune homme la portait dans ses bras, l’enfant ne bougeait pas, elle ne semblait qu’a peine consciente, c’est quand elle entendit la une voix de se dernier, qu’elle entrouvrit les yeux, dévoilant ses yeux aux différentes nuances de bleus, le visage du jeune homme était différents de ceux qu’elle avait vu jusque là, il n’était pas pâle, ses cheveux étaient d’un roux flamboyant et ses yeux avait la couleur du bois.
L’enfant après avoir remarqué qu’elle était porté eu comme un réflexe, elle se retira de l’emprise du jeune homme, elle fit un saut dans l’air et se retrouva face à celui-ci, retombant sur ses pieds encore faibles, au départ ses yeux était envoutant, mais l’instant d’après on pouvait voir qu’elle avait un regard effrayé et qui laissé entrevoir de la tristesse , comme si elle se retenait de pleurer, ses jambes et mains tremblaient, il était clair qu’elle avait du mal à tenir sur ses jambes, elle semblait tenter de résister à quelque chose, elle regardait dans les yeux la personne en face d’elle.

Elle semblait vouloir parler, mais ne pas réussir à parler, comme si… quelque chose la bloqué…


Malgré la douleur j’étais bien, je m’imaginais dans les bras de Hihana, il y avait la même douceur, mais quand j’ai entendu cette voix sans vraiment avoir bien entendus les paroles, je ne compris pas, j’ouvris les yeux pour comprendre et il y avait quelqu’un d’autre… Se n’était pas Hihana, il n’avait jamais été là… J’ai pris peur, je suis perdus, je suis stupide d’avoir pus espéré que Hihana serait là… Je dois tenir bon…je dois...être forte. Mais qui est cet homme ?

Trop heureux de voir la jeune fille ouvrir les yeux, Netari s’apprêta à lui répondre quand celle-ci quitta ses bras pour se placer face à lui, en ce qui semblait être une attitude de défi. Mais qu’avait-elle ? La surprise empêcha la colère de prendre le dessus. La pitié vint d’ailleurs instantanément remplacer le reste : elle tenait à peine debout, et paraissait lutter contre quelque chose. Elle semblait avoir perdu ses repères, et ne pas comprendre ce qui se passait. Peut être était-elle tombée malade durant l’éventuel voyage qui l’avait amené ici. Elle était faible voilà tout, et elle allait s’effondrer d’un moment à l’autre, il devait faire quelque chose.

Il rassembla ses forces et entra en communion avec l’air environnant. La sensation familière et depuis longtemps habituelle d’eau tiède et agréable qui s’écoule par tous les vaisseaux sanguins envahit son corps une nouvelle fois. Ses vêtements se gonflèrent tandis qu’une légère brise tourbillonnait autour de lui. Il augmenta légèrement la densité de l’air autour de la jeune fille pour l’empêcher de tomber. Il s’approcha alors avec précaution tout en restant concentré en lui parlant d’une voix douce, pour la rassurer.

« Allons jeune demoiselle, n’ayez aucune crainte, je suis là pour vous aider. Allez, détendez vous, tout va bien se passer. »

(HRP) 14 lignes j'ai honte (/HRP)

Quand il prononça les mots "jeune demoiselle" les yeux de l’enfant s’agrandir et devenurent plus clairs, elle sembla alors comme se laisser aller, elle se laissa tomber en laissant échapper une seule et unique larme, l’enfant avait alors un très tendre sourire. Alors que l’enfant se laissait tombait, un poignard sembla tomber de sa robe, il était de très bonne qualité, sur celui-ci se trouvait deux pierres l’une bleu et l’autre rouge, et sur le coté se trouvait une tête de dragon, la lame était de couleur bleu et blanche. La larme de l’enfant tomba sur la lame qui venait de sortir de son étui, c’est alors que la lame se mit à briller tout en « aspirant » la larme, puis la lame redevenu normale.
L’enfant avait un visage doux, malgré qu’elle était malade elle avait comme quelque chose qui donnait envie de sourire, elle était toujours aussi bouillante, et avait toujours autant de mal à respirer, mais son sourire restait,
combien de temps pouvait elle être malade pour être dans cet état…
Puis,
alors qu’elle semblait être endormit,

« Merci… », sa voix était plus douce que le velours, on ressentait qu’elle était comme différente... et qu’il y avait beaucoup d’émotions en se mot.

Elle était toujours aussi mal, mais elle avait toujours se sourire qui persistait, et en fin de compte, elle avait en effet finit par perdre conscience.
On pouvait voir qu'elle était vêtue d'une façon plutôt neutre, si se n'est qu'elle avait de sympathique fleurs qui lui servaient à attacher ses cheveux, elle pourrait très facilement passer inaperçu, en réalité quand on regarde de plus près sa robe était d'une très grande qualité, ainsi que cette...arme, rien qu'elle n'avait sur elle ne semblait indiquer du lieu d'où elle pouvait venir et de quel famille elle pouvait appartenir.


« Jeune demoiselle »… que de douceur se trouvait en ses mots, je ne sais pour qu’elles raisons, mais je me sans beaucoup mieux, ma douleur au ventre s’est comme affaiblit.
Peut être qu’en fait, cette personne était destiné à me trouver…
Quoi qu’il soit je me sens un peu mieux, je peux me laisser aller, sans craindre quoi que se soit…
Merci… jeune inconnus...

Elle semblait avoir repris conscience l’espace d’un instant, mais son état ne lui permit pas de profiter de cette seconde. Netari remarqua que ses jambes cédaient sous le coup de la fatigue sûrement, mais il était prêt. Il concentra l’air autour de la jeune inconnue pour s’assurer qu’elle ne tomberait pas et se précipita pour la prendre dans ses bras. Au moment où il allait la toucher, elle lui dit -d’une voix si douce- un mot, apparemment le seul effort qu’elle était encore en mesure de produire. Ce mot, ce « merci », si tendre, si délicat, mais qui semblait exprimer une immense gratitude, le toucha au plus profond de son cœur. Tant et si bien qu’il faillit la laisser tomber. Il se reprit immédiatement et la pris dans ses bras, partant alors pour le centre-ville.

Les passants regardaient d’un air étonné le petit manège qui se déroulait devant les yeux, intrigués d’une situation qu’ils ne comprenaient pas. Netari les ignora, soucieux d’arriver rapidement à l’Académie. En effet, le soleil se couchait et il était la cible parfaite pour une bande de brigands ou de voleurs, d’autant que la jeune fille était richement vêtue. Oui, il le remarquait maintenant qu’il y prêtait attention, ses habits étaient de ceux que l’on peux voir à une cour de nobles, au Consortium ou au Royaume des cinq joyaux par exemple, mais aucun écusson, aucun blason ni aucun symbole n’indiquait d’où elle venait. S’il en jugeait par le moyen de transport qu’elle avait utilisé, elle ne faisait sûrement plus partie de cette aristocratie.

La jeune fille évanouie dans les bras, Netari continuait de marcher sur la grande avenue qui menait directement à la partie Ouest de l’Académie. Il n’avait pas réfléchi à l’endroit exact où il pouvait la laisser se reposer et manger à sa faim, mais il estimait maintenant que sa chambre à l’Académie de magie ferait parfaitement l’affaire. Le trajet se passa sans encombre, et il arriva sans problèmes au pied de la gigantesque tour qui servait de dortoir aux druides qui avaient terminé leur apprentissage. Il monta difficilement les marches qui lui restaient à parcourir avant d’atteindre sa chambre, et parvint enfin devant la porte de sa chambre, qu’il ouvrit tant bien que mal.

=> tour des druides