Le temple de la constellation, avec Doom (Pv, un centaure peut venir)

Mes feuilles d'Élemore, qui, répendues sur la terre brune de la fin d'après-midi, dégageaient leurs odeurs bien particulière, rammassée tant que j'ai pu, avec la précieuse d'aide de mon nouveau presque compagnons, Doom, un homme grand et costaux, qui se baladait avec sa précieuse hache, effrayant les nombreux passants qui marchaient, allant d'un bout à l'autre de la citée, quelques fois. Mais il avait un bon coeur et s'emblait émerveillé par des choses qui nous semblaient banales et ordinaire. Avec lui, pendant la quizaine de minute dans laquelle nous discutions (enfin, il parlait, je l'écoutais), je vis tranquillement cette ville comme une merveilleuse citée, malgré ses routes souvent non pavées, et ses habitations désordonnées. Aussi, le coucher de soleil qui envahissait de couleur sublime les tavernes, les auberges, les maisons, les tentes des marchants de passage et les hôtels se découvrait tranquillement à moi.

Beaucoup de gens, de toutes les races, de toutes les cultures, de toutes les classes scociales, travaillaient ou avaient à faire à l'autre extrèmitée de la citée, près du quatier sud, de la partie nord, ou encore dans celle de l'ouest. C'est dans cette dernière que nous allions, car, bien que ce fut un endroit remplis de centaure, en grande tension avec les humains, j'était la bienvenue et je pouvais ne pas me cacher, car tous savaient mon histoire, mais, gardaient jalousement le secret, à mon plus grand bonheur. Il faut dire que souvent, quand je vivais dans les rues sales de la magnifique Saïsha, je me réfugiais presque à chanque semaine dans ce quartier. Les habitants, d'abord très haineux, apprenaient à me connaitre, jour après jour. Maintenant, je suis la bienvenue dans l'amat de maison amménagée spécifiquement pour la race que ces hommes-chevaux demeuraient. Ah que j'avais hâte enlever ce capuchon superflu, ainsi que la robe qui cachait ma vraie tenue; une tunique violette, avec des pantalons de lin et de très nombreux bijoux, souvent volés, quelques fois acheté avec l'Argent que ma famille adoptive me donnait en échange d'un service dans la ville, car je détestais ça.

Donc, mes seaux enfin remplis, je commença à marcher lentement, regardant en arrière pour voir si ma nouvelle connaissance me suivait. Dès que je leva le pied, il se mit à marcher du même pas (devenu assez rapide, mais toujours avec ma grâce naturelle, étant donné mon élémentaire d'air.) que moi. Bien, ou moins, bien qu'il parraisse lourdeau, il semble capable de suivre le tempo. Nous sortions des quatiers très fréquentés par les humains, pour se rendre dans la partie ouest. Ici, bien qu'il y ait une section consacrée à toutes les races, il y avait tellement de tension entre elles et celle des centaures (que l'on voyait régulièrement galoper sur la place principale), que, bien souvent, ces espèces ne quittent pas leurs minis-villages respectifs. Mais, vu que les humains se faisaient très rares, voir inexistant un peu plus loin, je pourrais bientôt enlever mon déguisement destiné à me faire passer inaperçue, parmi la population environnante.

Après avoir dépassé une taverne partiellement occupée, et une petite auberge qui semblait calme, ainsi que des maisons à la mode de Saïsha très malchanceuse, car beaucoup de conflis commencaient dans cette rue, où tous les occupants qui vivaient dans les maisons sur les autres routes (soit les honorables centaures) jettaient des coups d'oeil haineux à Doom, mais, n'oseaient pas l'attaquer, car il se tenait près de moi. Il devenait donc un invité d'un membre du pays lointain. Bientôt, nous étions les seuls humains (dans mon cas, bof, on peut dire que je suis humaine mais...) dans les routes. Nous dépassions l'auberge dans lequelle j'ai tant passé de nuit, un maison qui m'accueillais toujours quand j'arrivais au beau millieu de la nuit, sans poser de question. J'enleva mes vêtements superflus, pour ne porter que mes habits préférés, que j'ai énuméré, puis mes bijoux. Cinq bracelet en argent pur avec l'écriture de mon pays dans mon bras droit, qui cliquetiquaient à mes moindres mouvements. Un autre, cinq fois plus large, collé à mon avant-bras gauche, avec le dessin de l'Élemore. Une amulette pour chacun des dieux du continent, en plus de ceux plus lointain, quelques chaînes aux pierres semi-précieuses, quelques bagues angentée venant de mon pays biologique, et un bracelet de pied, tout ca en plus de ce qui soulevait mes cheveux, à la dernière mode des humaines, que j'enleva, laissant ainsi libre la cascade noire qui finissait à mes hanches.

En me voyant, quelques membres de familles qui avaient eu la gentillesse de m'acceuillir dans mes moments de détresse, profonde ou pas, me saluèrent en me voyant ainsi arrangée. Je reconnu aussi ce jeune pour qui j'avais eu un petit béguin quand j'étais un peu plus jeune, mais, lui, ne me vit pas, car, il regardait plutôt Doom avec un air de méfit. Je soupira. Ces deux races là ne pourraient jamais s'entendre ensenble, c'est une des choses les plus sûre que je sache. C'est alors que mon compagnon de route me demandit où nous étions rendu. C'est vrai qu'il sembalit perdu, mais de là à ne pas comprendre que nous nous trouvions dans le quartier des centaures, réputé pour que tout être non-admis allait se faire attaquer. Moi, si, la première fois que je serais entré dans ces routes, j'aurais mon âge, une petite bataille s'aurait déclenchée. Mais, je n'était qu'une enfant humaine, d'après les dires.

- Oui, nous sommes arrivés, ai-je répondu tout de même

Devant nous se dressait un immense temple, au couleur d'argent, de rouge, de grès et d'or. De gigantesques colonnes soutenait le portion du toit qui n'était pas envahit pas le liège qui grimpait jusqu'en haut, s'arrêtant un peu avant le toit, qui était très spécial, pour ne pas bloquer la vue des astronomes ou des visiteurs. Je me dirigea vers la lourde porte qui permettait d'accéder à l'intérieur. C'est à cet endroit que je me trouvais, il y a de cela quelques années, avant que les druides de l'écoles de magie me recueillent, regardant le ciel qui contenait des milliers d'étoiles par delà de toit qui devenait transparent la nuit tombée. J'étudiais, avec un professeur qui voulait m'instruire. Je me demande s'il est encore vivant. À l'intérieur, un paysage familier m'attendait. Un gigantesque téléscope au millieu de la pièce pointait vers le plafond, haut de quelques mètres. Les cartes de constellation étaient posées un peu partout sur les murs. Le placher, quand ;a lui, représentait les armoiries des hommes-chevaux. Mais, la chose la plus impressionnante du temple était sans soute l'autel consacré à Laneya, où, dans une aclove, il y avait des chandelles, des plats destinés à lui donner un peu de nourriture, ainsi qu'une statue grandeur nature de la déesse. Je m'avanca vers elle, et posa quelques fruits et quelques feuilles, car je priais tout le pantéon des dieux. J'inclina la tête, puis j'alla s'asseoir sur un banc, attendant que la seule autre personne qui était présente dans la salle me parle.

D'après les dire de mon compagnons, nous étions arrivés au quartier centaure. Ce peuple ne semblait pas apprécier ma présence mais ne disait rien. Sans doute grâce a la présence de Kolie, je ne fut pas inquiétez et pus la suivre sans encombre. J'avais déjà croiser des centaures avant d'arriver dans cette ville et tous m'avaient attaquer : ils ne semblaient pas m'apprécier. Pour moi ces créatures se résumait a un hybride entre cheval et humain. Je ne connaissait rien de leurs passer, de se qu'il cherchait dans la vie ni pourquoi ils se montraient hostile envers les autres races. Plus nous nous enfoncions dans le quartier centaures et plus il y en avait. Je en fit aucun geste d'apparence violente pour ne pas attirer l'attention sur moi et mon amie. Nous croisions aussi des gens d'autres races mais je ne put faire la différence entre eux. Je me sentit frustré de n'en savoir que si peu sur les différentes civilisations vivant en ce monde. Ma vie c'était toujours résumé à survivre dans tous les lieux ou la route me menait en attaquant et tuant tout ce qui me barrait la route (ceux-ci n'ayant pour 99% des cas aucune intention de me laisser passer vivant.).

Nous arrivâmes devant le temple, bâtiment qui me rappelait étrangement un château dans lequel j'était entrer il y a quelques mois pour dormir dans un lieu couvert (il pleuvait). Durant cette nuit je n'ai croisé personne et je suis reparti sans histoire mais je m'égare. Ce temple donc était très grand. Ses murs me donnaient l'impression de pouvoir être escalader tellement le lierre l'avait envahi. Je en l'imaginait pas résister a mon poids mais a celui de mon compagnon c'était évident. Nous entrons. Une porte magnifique, très impressionnante semblait pouvoir résister a un assaut pendant des jours. L'intérieur était immense. Un autel se trouvait là, autel qui semblait représenter Laneya. Au beau milieu de la pièce, un télescope de plusieurs mètres, Pointait vers le ciel pour voir les étoiles. Évidement je ne m'était jamais servi de ce truc, je n'y touchait donc pas. En regardant en l'air je pouvait voir un plafond a environ 15 mètres du sol. Un point étrange : une genre de vitre au milieu, sans doute pour pouvoir voir à travers. En baissant les yeux je vit le télescope et comprit l'utilité de la vitre.

Me rappelant soudain que je n'était pas seul je me mis a cherche mon compagnon et la vis, qui c'était assise sur un banc. Je m'installa a ses cotés et lui dit :

C'est très impressionnant ici. Nous sommes ici pour regarder les étoiles et les constellations, je en sais me servir d'un télescope. Pourriez vous me montrer comment faire s'il vous plait?

Assise sur ce banc de pierre, mon professeur, habituellement debout, étant donné que la forme de son corps ne pouvait pas vraiment s'asseoir comme les humains, me montrait les magnifiques étoiles qui formaient les constellations. Il se tenait devant moi, juste sur cette dalle en forme de fleur s'épanouissant. Du doigt, il pointait touts les points lumineux dans le ciel, la nuit. J'ai eu aussi droit à quelques cours sur les mouvement de la lune, et comment prévoir les récoltes en fonction de ce qu'elle nous réservait, chose utile si je voulais aller retrouver mes parents et recommencer à vivre avec la tribu. Aussi, les jours où je venais dans le quartier, quand je ne découvrais pas la ville et ses environs, souvent, un homme-cheval m'enseignait les savoirs de son peuple, comme l'écriture, la lecture des signes de sa race, ainsi que les cultes de chacun des dieux. Ce fut grpace à cet être généreux que j'ai l'ouverture d'esprit que j'ai présentement, et la volontée de vénérer tous le pantéon des dieux du côté du bien. Je n'ai aucun préféré, aucun que je délaisse non plus.

Puis, il y avait eu les druides, qui passaient par-là un jour, et qui me regardaient avec pitiée. Quoi de plus attendissant qu'une jeune orpheline qui détenait une capacitée d'apprendre au-delà que la plupart de leurs autres merveilleux apprentis, qui séjournaient dans l'immense tour circulaire que formait l'académie de magie, la grande et l'unique. Finalement, ils ont décidé de m'ammener avec eux, où j'ai appris encore plus de renseignement sur les herbes, la magie, les cultures des autres races. Bref, je ne pouvais pas rêver mieux que cette vie, à part celle que me destinaient mes parents.

Perdue dans mes plus pronfondes pensées, j'entendis à peine mon nouveau compagnon à grand coeur, Doom, me demander de lui enseigner quelques rudiments en astronomie. Si je me fiait à mon ancien professeur, il me savait très douée en toutes matière, donc, je pouvais essayer de montrer quelques trucs à ma nouvelle connaissance. La nuit, douce et fraîche, pour une fois dans la chaude citée de Saïsha, aparue, le plafond haut à en donner le vertige devenait rapidement transparent, laissant entrevoir les constellations qui ornaient le ciel. Pas besoin du téléscope, car la plupart d'entre elle se voyaient facilement à l'oeil nu. Donc je commenca, ma timiditée en moins, car, de un, je n'avais pas besoin de me cacher ici, et de deux, j'adorais parler des enseignements de toutes les races et cultures.

- Tu vois, le ciel est divisé en quatre rectangle égaux, qui sont formé par les bandes d'or que tu vois. C'est ce qui délimite le territoire de l'est, de l'ouest, du nord et du sud. Dans chaque sections se retrouvent plusieurs images, mais, la plus impressionante est celle de Layena. Qu'est-ce qu'elle a de si exeptionnel? Elle est au point de rencontre des quatres lignes, à tout moment de l'année. Son regard, l'étoile au centre, nous regarde à chaque nuit, pour veiller sur ses protégés, selon la légende...

Koly me parlait des étoiles, de tout ce qu'on voyait dans le ciel. Je me demandais comment les centaures avaient pu découvrir toutes ces choses qui se trouvait tellement loin de nous. J'étais septique mais l'écoutait quant même. Peut être que tout cela me serait utile un jour ou l'autre. Peut être qu'un jour je pourrais me servir des étoiles pour me retrouver dans ce territoire. Du moins je pourrais toujours essayer, juste pour voir. Koly me parlait des constellations qui veillait sur nous. Elle me parla surtout d'une vielle légende centaure qui disait que le jour ou l'image de Layena ne serait plus au point de rencontre des 4 lignes, tout l'équilibre du monde serait ébranlé mais que se jour n'était pas prêt d'arriver. En regardant le ciel je ne voyait que des points mais koly semblait voir beaucoup plus que cela. Je l'écoutait retenant tout ce qu'elle me disait, au cas ou. Quant elle eu finit de parler des étoiles et des légendes centaures, elle me demanda si j'avais des questions. Je lui répondit que non. Tout cela m'avais laissé sans voix. Moi qui pensait qu'elles étaient la par hasard. Son récit m'avait un peu convaincu, il ne restait plus qu'à voir si je pouvais vraiment me diriger grâce a elles.

Tout d'un coup, ma tête se mit a tourner. Mon regard commençait a se perdre, mes visions étaient flous. Cela m'était déjà arriver mais jamais avec une telle ampleur. Je décidais donc de faire comme les autres fois. Je m'assis, fermant les yeux et mettant ma tête dans mes mains. Je ne pouvais supporter d'être dans cet état là devant la jeune femme qui m'accompagnait et de ne pas pouvoir me défendre en cas d'attaques. Heureusement cela passa vite, quelques minutes après j'étais de nouveau debout et pouvais de nouveau bouger comme je le souhaitais. J'avais honte de se moment de faiblesse et j'espèrerai grandement pouvoir l'effacer par un acte de bravoure qui sauverais mon honneur. Je ne savais quoi lui dire ni que faire. Finalement je lui dit :

Je vous serez gré d'oublier cet faiblesse de ma part. J'aurais vraiment préféré que sa se passe dans un endroit isolé ou j'étais seul comme les autres fois.

J'essayais de sembler le plus fort possible et esperais fortement qu'elle ne me rappelle pas ce moment.

Finalement, pour teminer mon petit cour sur l'astronomie, espérant que mon compagnon comprenne tout ce que je lui disait, car, même moi, au début de mon long apprentissage, je n'avais pas beaucoup retenu de choses, je lui parla de la légende de l'étoile déplacée. Si celle de Layena était simplement déplacée d'une fraction de seconde, le monde possédait très peu de chance de survie. En fait, ce conte était réel, car, ce point lumineux influence les marées, les vents, les pluies, les sécheresses. Tout, un peu comme Soleil, la boule de feu de la rage et de la passion, dépendait d'elle. Je ne vois pas qui pourrait bien avoir le pouvoir de la pousser. Donc, pour rassurer mon "élève", je lui dit que ce n'est point pour demain, bien que, on ne sait jamais ce qui peut arriver, selon une proverbe celtique. Je me demande si, comme moi la première fois que l'on m'a parlé des points lumineux dans le ciel, ma nouvelle connaissance ne comprend pas vraiment pourquoi c'est si important.

Quand j'eu fini mon petit cour d'astronomie improvisé, je me leva gracieusement, puis, je marcha un peu, vers une des acloves, jusqu'à ce que je me tienne devant-elle. De très nombreuses cartes stellaires envahissaient l'espace, me donnant l'impression d'étouffer pour de bon. Je commenca, une par une, tranquillement, à les décrocher, puis, à les mettres sur les autres murs, plus vide, ceux qui n'étaient pas décalés dans l'architecture du temple. Je fis ça avec les huit petites pièces ouvertes. Quand j'eu finalement fini, épuisée de courir pour chercher la meilleur endroit pour un morceau de papier, je me tourna vers Doom pour m'asseoir en paix, le temps d'admirer ce que mon tuteur me montrait il y a de cela quelques années. À mon souvenir, ce devait être magnifique, ou encore, extraordinaire.

J'avanca, un pied devant l'autre, regardant chaque détail de cet immense temple en pierre mystique. Dire que dans celui-çi avaient régulièrement lieu les rassemblements des plus savants entre tous les hommes-chevaux du continent en entier. Cela dit, ça faisait plus que beaucoup. Ilyos, un des membres du conseil, qui m'enseignait que de rares fois, mais avec bohneur, se tenait habituellement sur cette dalle, en train de débattre sur une chose importante pour son peuple qu'il représentait. La statue de Laneya, elle, semblait veiller sur nous et sur notre connaissance, chose qui me fit sourire. Je la priais régulièrement, comme tous les autres de sa race, sauf ceux du mal en personne, trop pervers pour que je m'attarde, je préfére ne pas y penser.

Soudain, Doom, encore assis sur le banc de pierre où j'avais appris mille et une chose, à l'autre bout de l'immense salle qu'était le temple de la constellation, se mit à trembler comme une des feuilles d'Élémore, dans mes paniers, quand elles sont secouées par le tranquille vent de la plaine. J'accuru. Mon nouveau compagnon semblait s'être habitué à de telles crises pareilles. Il se détendait, la laissant passer, comme elle venue un peu plus tôt. Pas de soucis à me faire, j'attendis qu'il reprenne ses esprit en restant sur ma garde, la main sur mon épée accrochée à ma ceinture finement ouvragée de mon peuple, s'il venait un ennemi, car je ne crois pas que l'autre humain dans la salle puisse se défendre si un centaure, finalement décidé à l'attaquer, se présentait. Après quelques minutes, pendant que j'observais le travail que je réalisais il y a à peine quelques minutes, celui sur qui je veillais sortit enfin de son état semi-consient. Il avait l'air mal à l'aise que j'aille vu une telle chose. Peut-être est-ce qu'il pensait que ce simple accident qui faisait partie de sa magnifique personnalitée était un signe de faiblesse, chose proscrite chez les guerriers d'une telle envergure. Il se releva, et ne sembla point chanceler ou autre états secondaire. Je lui donna ma confiance, phénomène extrèmement rares, pour ce qui était de voir son état. Quand il commenca à parler, il me donna la réponse à mes apréhensions. Je le rassura, d'une voix calmante:

- Ce n'est pas vraiment de votre faute si ces choses arrivent. Sachez que je peux très bien me défendre, alors, ne te sens pas coupable si tu pense que tu m'a abandonné quelques minutes. Je ne suis pas unes des espèces de femmes qui ne peuvent se servir d'un pognard. Dit, est-ce que tu sais pourquoi ces crises arrivent?

Pour la première fois de ma vie, je venais de tutoyer quelqu'un autre que mes parents et leurs immenses clans. Soudain, je vis Doom comme quelqu'un de confiance. Je remercia une déesse de mon ancien peuple, qui contenait plus de dix divinitées, à chacune son propre élément, en plus de ceux dont les temples se batissaient de jour en jour, que je priais toujours. Quelques fois, seul mes parents les vénéraient, d'autre fois, le peuple entier rendaient hommage. Celle-ci, elle se nomait Nelyss, la déesse de la chance. Elle devenait rapidement très populaire dans les tavernes, quand l'on jouait aux jeux de hasard, mais, ma famille la vénérait pour sa générositée envers nos terres et nos hommes (et les femmes et enfants). Je lui envoya une pière pour avoir mis mon nouveau compagnon à grand coeur sur ma route.

Peut-être que je lui raconterais mon histoire un peu plus tard, s'il est vraiment ce que je crois.

Elemore se voulait rassurante quant elle me dit qu'elle savait se servir d'un poignard mais cela me faisait honte de devoir me faire défendre par une femme. Cependant je ne le montrait pas. Elle me regardait. Je lui dit :

je sais d'ou me viennent ces crises. C'est assez compliquer. En fait tou cela a commencer lorsque je me suis fait cette cicatrice. je montrait mon bras la bête qui m'attaqua a du laisser quelque chose dans mon bras mais je ne pris jamais la peine d'aller voir ce que sa pouvait être. A vrai dire je m'en fichait. Cela aurait pourtant pu m'être utile pour savoir comment guérir ce mal. Mais ne nous attardons pas la dessus s'il vous plait.
Soudain remarquant dans sa dernière phrase qu'elle m'avait tutoyer j'ajoutai :
Je vais vous tutoyer également. Après tout les connaissance ont été faites. Nous pouvons bien parler plus librement.

Je me mit a marcher dans le temple regardant autour de moi. Les centaures me regardait en ne manifestant absolument aucune discrétion. Il semblaient se délecter de mon moment de faiblesse.J Je ne voulais pas avoir d'ennui, je n'y prêta pas intention du moins en apparence. Si je les recroisées en dehors de leurs temple ils auraient a faire à moi. Ne pouvant supporter leurs regards je dit a ma compagnon :

j'ai besoin de sortir de cette ville. Nous pourrions peut-être aller marcher dans les montagnes autour de la ville. Prendre l'air me ferais le plus grand bien et qui sais, peut être aurions nous l'occasion de férailler. Ma hache s'ennuie a ne pas bouger.