Arrivée dans la ville

Venant d'arriver dans cette ville que je ne connait pas, je erre à la recherche de quelqu'un. Finalement j'arrive devant une auberge. Me disant que peut être je pourrais trouver âme qui vive, j'entre.

Salutation voyageur. Que venez vous donc chercher en ce lieu ?
Je voudrais une chambre pour la nuit ainsi qu'un repas bien chaud s'il vous plait.
Aucun problème. Je peut vous servir ma spécialité locale : un mouton rôtie dans une bonne sauce bien de chez moi
Ma fois c'est bien tentant.
Suivez moi, je vais vous menez a votre chambre et je vous y amènerez votre souper.

Je le suit donc. Elle m'ouvre une porte. La chambre est composé d'un lit, d'un lavabo et d'une table. Ce 'est pas le grand luxe mais c'est propre.
Cela vous convient t'il ?
Je pose mon arme par terre a coter du lit.
C'est parfait.
Je vous ammene votre repas d'ici quelques minutes.

Je m'assoit sur le lit et attend.

Voila. Bonne appétit.

Je mange en me disant que ma première rencontre dans cette ville est excellente. Je laisse mon assiette sur la table et m'endort.
Le lendemain matin je sort de ma chambre et commande une bonne bière pour me réveiller. Le patron me la sert et je commence à boire. Je paye mes consommations en le remerciant puis je quitte l'auberge à la recherche de quelqu'un avec qui faire connaissance.

Je me prommenais dans la route, près d'une petite auberge chevaleresque où certains de mes... compagnons de classe fréquentaientt, à des heures très tardives. Vu que le soleil était à son plein potentiel, les gens du quatier se pressaient, allant travailler ou bien encore faire les courses pour nourrir leur grande marmaille. Le ciel ne possédait aucun nuage et une douce brise soulevaient les rares mèches qui dépassaient de ma coiffure exentrique, mauve, que la plupart des jeunes élèves de sexe féminin abordaient. Je ne l'aimais pas, mais, je voulais à tout prix passer inaperçue dans les couloirs. L'école de magie se dressait devant moi, coeur immense de la citée mère du continent qui j'habitais. Les pierres circulaires grise du batiment me faisaient un peu peur. Elle étaient tellement intimidantes! Surtout que c'est là que je coucherais, dans une chambre, parmi la sociétée humaine, centaurienne, vampirienne et, peut-être elfique. Je ne pense pas que mes tuteurs veuillent encore de moi dans leurs vastes appartements, en haut d'une de ces quatres tours.

Selon les ordres de mes magnifiques professeurs, les druides qui enseignaient les cours de magie, j'avais récolté des Élemores, des plantes robustes et efficaces, mais qui se cachent dans les racines enroulées, dans l'ombre d'n gigantesque arbre, d'où mon nom que ma famille adoptive m'a attribuée. Je longeait le mur, me fondant dans le décor, mon visage dissimulé. Personne ne me prêtait attention, et cette situation était de loin la meilleure pour moi. Je préfèrais rester dans le mystère que tout le monde me connaisse et me salue humblement. Les hommes-chevaux passaient à côté de moi, oubliant totalement ma présence suspicieuse. J'approchait peu à peu de mon but, espérant trouver la quiétude après ma mission périeuse, du moins, elle le devenait de plus en plus pour moi.

Soudain, perdue dans mes pensées, aussi sombres que claires, je ne vis aucunement ce solide gaillard qui ouvrait la porte pour sortir du magasin où il se tenait il y a quelques secondes. Aussi vite que lentement pour moi, je finis ma marche en heurtant l'obstacle qui barrait ma route, soit le torse du guerrier, où quoi que se soit d'autre. Je poussa un cri, et, m'enmêlant dans la modeste robe beige que les directeur me forcaient à porter, je tomba sur le chemin de pierre qui menait à l'entrée. Tout le contenu de mes deux seaux se répendit en un rien de temps à terre, gâchant tout mon travail, auquel je m'archarnais depuis l'aurore. Mais, ce qui me faisait le plus peur, c'est de parler à cet inconnu, armé d'une lourde hache menacante et trop effilée. Politesse requise, timidement, je pris la parole et je bafouilla des excuses les plus mauvaise:

- Je.. Je... Désolée, j'étais... perdue dans mes pensées. Je ne.. vous avait pas vraiment... vu *?*. Euh.. pardonnez-moi de vous avoir importuné...

Bon. Je ne parlais jamais à quelqu'un, mis à part ceux qui m'avaient repris de la rue. Donc, il ne fallait pas s'attendre à quelque chose de superbe, puisque la dernière fois que j'ai adressé la parole à un inconnu pour plus de trois mots, cela datait de l'époque où mes défunts parents vivaient avec moi dans la maison familiale, alors, depuis un bon petit las de temps. Je leva les yeux pour regarder le visage de ma nouvelle "connaissance". Je ne savais pas ce qu'il allait faire, mais, sans qu'il le voit, je déplaça très légèrement mes pieds pour être prête à courir, au cas où que cet homme ne soit beaucoup moins poli que certains gentilhommes de la cour de la reine....

Alors que je sortait, je fit la connaissance assez violente d'une jeune femme qui semblait perdu dans ses pensées. Elle bégayait, semblant avoir peur de moi. Je luis dis donc :

N'ayez pas peur, je ne suis pas un monstre. Allez! Relevez vous!

Je tendit ma main pour l'aider a se redresser. Elle semblait méfiante mais finit par l'attraper et se hisser sur ses jambes. Elle dit :

Merci beaucoup. Vous m'avez fait peur. J'étais perdu dans mes pensées et je ne vous avez pas vu arriver.
Ne vous inquiétez pas je ne vais pas vous manger, je n'ai pas fin -dis-je avec un petit sourire qui n'eus pas l'air de la rassurer.

Nous discutâmes pendant une quinzaine de minutes, faisant connaissance. Je lui racontait mon enfance, comment j'avais appris a me battre, mon premier amour. Elle me disait qu'elle était étudiante en magie. Elle semblait beaucoup aimer ce qu'elle faisait même si cela avait l'air de la fatiguer. Au fur et à mesure que nous parlions, elle paraissait de plus en plus calme.
Une fois notre discussion terminer, nous nous demandions ce que nous pourront bien faire, ou nous pourrions bien nous rendre. Nous décidâmes finalement de marcher tranquillement dans les rues adjacentes a notre lieu de rencontre. Les rues était bondés et en connaissant absolument pas la ville, je me fiait a mon compagnon. Pendant que nous marchions nous discutions :

Vous ne m'avez pas encore dit pourquoi vous êtes venus dans cette ville.
Cela faisait des semaines que je n'avait croisé quelqu'un de civilisé, que je n'avais pas manger un repas digne de se nom ni dormi dans un lit. Vous ne pouvez pas imaginez ce que cela produit comme effet, de se que l'on ressent a voir enfin, après tout ce temps autre chose que des bêtes sauvages , des cailloux pour dormir ... C'est indescriptible.

Je n'arrivait pas à exprimer clairement ce que je voulais dire. Je ne m'était jamais senti comme cela. Un sentiment de renaître, de retourner à la civilisation après tant de temps passé seul ... j'avais presque oublié la douceur d'un bon lit, le plaisir que l'on éprouve a manger sur une table, avec de vrais couverts et surtout la compagnie. Je pense que c'est ce qui me manquait le plus. Je me demandais presque comment je faisait pour toujours arriver à parler de façon compréhensible. Tout cela, il m'était impossible de le dire à la jeune femme qui m'accompagnai mais je pense qu'elle a pu le deviner, cela ne pouvait passer inaperçu. Je regardait tout, admirant l'architecture jusqu'à la moindre petite chose insignifiante. Par exemple le fait que des voies est été fabriquer pour que l'on marche dessus, tout cela me semblait propre et clair. On ne pouvait pas se perdre à part peut être dans ses pensées comme j'étais en train de le faire.

Je suis perdu ici et il fait froid. Connaissez-vous un endroit ou nous pourrions nous mettre au chaud ?

Cet homme, bien que de stature très impressionnante, avait tout de même un assez bon coeur, ce n'était pas un de ces espèces de bêtes qui traquent les jeunes filles comme leurs proies, quand ils ont vraiment trop bu. Certaines races peuvent même passer à l'acte sans avoir au préalabe ingurgité une goutte d'acool. Franchement, ceux-là devenaient souvent les pires, car la victime ne pouvait s'enfuir qu'à de très rares cas. Je soupira intérieurement. Un des nombreux poids qui pesaient sur mes frêles épaules tomba d'un coup. Au moins, je ne serais pas morte avant d'expliquer au grand conseil pourquoi je n'ai pas rammené à temps les feuillages d'Elemore, dont toutes étaient répendue partout sur un des uniques sols dallés de la ville.

La voyant à terre, sa nouvelle connaissance me tendit son immense main pour me rammener les deux pieds sur terre. D'un mouvement de tête gracieux, je le remercia. Peut-être que mes chances qu'il ne me demande rien à mon sujet augemente, s'il est aussi galant qu'il le laisse paraître. Après mes piètres excuses, il ne s'en fit pas, au contaire. Mon visage maintenant à découvert, car les mèches qui le chachaient étaient maintenant un peu plus loin au niveau de mes tempes, découvrant mon visage, soit disant un des plus beaux que les hommes aillent à jamais vu, selon certains d'eux et de mes professeurs. Mes yeux noirs regardaient profondément mon sauveur. Bien que je doive lever la tête pour croiser son regard, le mien ne perdait en rien de la froideur. Non, de l'inexpression, comme m'avaient appris mes tuteurs. Personne ne nous remarquaient. Pour eux, je resterais la légende du fantôme de l'école de magie qui se dressait maintenant juste devant moi, sa hauteur inspirant la fièretée à tous ceux qui possédaient la chance d'y vivre sédentairement ou juste pour une nuit.

Nous commencions à parler. Moi, fidèle à mon caractère renfermé, je l'écoutais, en apprenant daventage sur lui. Quelques fois, quand il me posait certaines questions, je lui répondais par quelques mots, souvent des phrases non développée. Pendant une quinzaine de minutes, il me raconta son enfance difficile, ses combats, dont il était particulièrement fier, de petites parties de son voyages. En retour, je lui avoua que j'étudiait dans la gigentesque tour, coeur de tout Saïsha. Je n'avais que rarement vu des humains profiter de la vie comme celui qui se tenait droit devant moi. Il sembait apprécier plus que jamais la compagnie que je lui apportait, un repas dans l'auberge bizarre du chevalier, ainsi que ses lits. Il me donnait l'impression de rennaître des cendres de son ancienne vie.

Mon visage tout aussi impassible, mais grelottant légèrement dans ma robe, sale, avec la terre qui remplissait les trous que faisaient la prierre, non égale. Nous étions l'automne, et j'avais fait l'erreur de m'habiller plus légérement qu'à l'habitude, vu que je pensais revenir avant le coucher du soleil. Pour ce qui était de ma famille adoptive, elle ne s'inquiétait jamais de ce que je devenais. Si je couchais dans une hôtel, personne n'enverrais les gardes partir à ma recherche. Par contre, si je manquais un des cours.... Je fus contente quand mon interlocuteur me demanda si je connaissais un endroit chaud où se réchauffer. Je n'avais pas envie d'entre dans une auberges, un hôtel, ou encore moins dans une taverne. Ni à l'école de magie. Soudain, une lumière s'alluma dans mon esprit. Il y avait un quatier où j'était acceptée, et, bien que personne ne parlait de moi, tous me connaissaient. Et ils gardaient mon secret.

- Nous pourrions aller... au temple, dans le quatier centaure. Les étoiles apparaîtrons bientôt. Peut-être... Que je pourrais vous les montrer et leurs constellations magnifique? Mais, il faudrait que je rammasse mes feuilles d'Elemore, si je ne veux pas subir la colère de mes parents.

Quant je lui demandait ou nous pourrions nous rendre, elle me parlas du quartier centaure et en particulier du temple s'y trouvant. Nous nous somme mis a ramasser ses feuilles en essayant de les laisser dans un état correcte ce qui était très difficile pour moi. Je n'était vraiment pas habitué a faire preuve de douceur envers les feuilles qui pour moi étaient d'une inutilité parfaite. Une fois ce travail accomplit nous commençâmes à marcher. Je la suivait car je ne connaissait absolument pas le chemin a prendre. Au fur et à mesure que nous avancions je découvrait des lieux magnifiques. Nous discutions et j'admirais l'architecture de cette ville, et plus je l'admirais, plus je la trouvais étonnante, magnifique, n'ayons pas peur des mots : parfaite. La jeune femme m'accompagnant se mouvait avec un grâce hors du commun. Sa démarche était tellement agile qu'elle ne semblait pas toucher le sol. A chaque pas qu'elle faisait, elle semblait flotter. Du moins comparé a ma façon de marcher. Soudain je me rendit compte que l'endroit ou nous nous trouvions ne ressemblait absolument pas au lieu de notre rencontre.
Je demandais :


Sommes nous arriver aux quartiers des centaures ? Je ne reconnais rien ici. Tout paraît tellement étrange!

Le temple des constellations.