Dans l'auberge - Yuka

Yuka avait prit une chambre pour y déposer la jeune fille, elle la mit sous la couverture, même si cela n’était pas forcement nécéssaire, mais elle ne savait pas tant de chose sur les vampire si se n’est sur leur stratégies militaires, styles de combats, et que les inquisiteurs des cinq joyaux son plus monstrueux qu’eux quand ils se retrouve les uns les autres. Pour qu’elle puisse mieux se reposer elle alluma quelques bougies et ferma les volets, elle récupéra un peu de son sang à l’aide d’instrument de médecine, elle n’eu par la suitequ’a poser un pensement et remmettre ses vêtements et l’on n’y voyait que du feu.

Elle avait poser un ver de sang avec une petite couppelle par-dessus, mais l’avait suffisament laissé entre-ouverte pour que cela permette à la jeune vampire de se réveiller dans une « douce odeur de repas », imaginant qu’elle aimerait, tout comme les humains peuvent apprécier de se réveiller par les bonnes odeurs du petit déjeuné le matin.

Yuka s’était installé dans le canapé en face d’elle, elle la regardait de tamps en temps, tout en buvant un verre de vin rouge, avec douceure pour éviter de se retrouver soaoul, elle éspérait que la robe qu’elle avait vu serait toujours là quand elle y retournerait. Et elle espérait que la vampire ne se jéterait pas sur elle voyant que la personne en face d’elle peut ressembler à une inquisitrice.

Emilie s’éveilla discrètement, comme à son habitude, trois heures environ après qu’on l’ai déposé dans son lit. Ce que sentit en premier la jeune vampire quand elle s’éveilla de son sommeil sans rêve, ce fut le douce odeur du sang, entêtante et envoûtante. Celui-ci, un peu plus fort que les autres sangs humains, appartenait à un Narkae, ce qui n’était pas forcément bon signe. En outre, il avait l’odeur de la magie, ci qui était réellement inquiétant. Le corps légèrement douloureux, elle entrouvrit imperceptiblement les yeux tout en faisant croire qu’elle dormait encore. Elle essaya de reconnaître le plafond, mais n’y parvint pas. Elle tendit l’oreille une fois ses yeux refermés. Elle perçu la respiration clair et calme d’une personne, puis un autre son lui précisa que cette personne buvait quelque chose. Elle se remémora les évènements avec difficulté, lentement, se rappelant ce qui lui était arrivé. Elle marchait dans la rue sous le soleil et elle était tombée, à bout de force. Son inquiétude augmenta tandis qu’elle prenait toutes les peines du monde à les dissimuler, et fit un rapide état des lieux : elle n’était pas attachée, la lumière était suffisamment tamisée pour lui permettre de combattre de toutes ses forces, ce fut alors qu’elle remarqua qu’on avait disposé une couverture au-dessus d’elle. Surprise, elle en fut rassurée, car les gens qui vous veulent du mal ont peu l’habitude de vous border, en général du moins. Elle n’était pas blessée, mais elle avait très soif, vraiment très soif.

Entendant la personne boire à nouveau, elle en profita pour ouvrir les yeux et se redresser rapidement. Elle se tourna vers la jeune fille après un instant consacré à un bref examen de la salle, et la détailla du regard. Elle l’avait déjà vu quelque part, mais où ? Quoi qu’il en soit, elle n’avait pas l’air du tout agressive, et la regardait en souriant. Soudainement désemparée, elle dit, hésitante, d’une voix de petite fille étonnée : « Heu… Bonjour ? »

Son air surprise s'estompa un e seconde lorsqu'elle vit la croix solaire sur les vêtements de la jeune femme, et l'on pu distinguer un instant un éclair de méfiance dans ses yeux. Puis elle reprit son visage d'innocente petite fille perdue, et écouta son interlocutrice parler, la bouche légèrement ouverte. Elle regarda le verre de sang d'un air envieuse, et le prit des deux mains lorsque Yuka lui tendit. Elle l'huma un peu, et ferma les yeux en souriant. Puis elle les rouvrit et le porta à ses lèvres à la manière d'un écureuil mangeant ses noisettes. Intérieurement, elle se retint avec force pour ne pas se jeter sur le verre et le siffler comme une louve affamée, ce qui lui permit de maintenir son apparence de petite fille candide. Elle vida néanmoins le verre d'une traite, pensant entre temps que s'il y avait un sérum de vérité ou quelque autre préparation alchimique du même genre, elle serai tombée stupidement dans le piège, mais elle ne décelait rien d'autre dans le sang frais.

Frais... Elle comprenait pourquoi il était si bon : il avait été extrait il y a quelques heures seulement ! Incroyable, cela faisait très longtemps qu'elle n'avait pu goûter du sang de cette qualité ! En effet, les vampires sont tenus de se nourrir sans toucher à la population dans la cité, ce qui les contraint à en importer de la Péninsule de la Main Noire. Cet enchantement se lisait sur son visage, et c'est un vrai plaisir de petite fille sans aucun artifice qui pu su lire sur le visage de l'amirale. Elle se dit qu'elle n'avait plus besoin de jouer la comédie, et qu'elle devait bien ça à cette personne qui l'avait aidé si généreusement. Elle eu l'impression de se retrouver auparavant, avec ses amis qui étaient restés là-bas, et ce sang Narka lui rappelait de nombreux souvenirs, bien que celui-ci fut notablement plus pur que ceux qu'elle avait déjà bu.

Lorsqu'elle posa le verre, ses yeux pleins d'étoiles s'éteignirent un peu, alors qu'elle reprenait un visage souriant, mais tout à fait mature. C'est presque avec une voix de femme qu'elle s'adressa à sa bienfaitrice : "Merci beaucoup jeune fille, merci beaucoup. Après tout ce que vous avez fait pour moi, je préfère être franche avec vous. Aussi, je me présente : "Denora Emilie... elle hésita un peu, se retenant de donner son ancien titre, puis dit, tentant de masquer son amertume soudaine : Ambassadrice du peuple des vampires à Saïsha. Vous m'avez sauvé la vie, à ce que j'ai compris, et je vous en suis extrêmement reconnaissante. Quel est votre nom ?"

Elle ne sembla pas surprise que la vampire utilise une tel voix, elle semblait s’en douter, mais concernant son statut d’ambassadrice, elle ne s’y attendait pas. De plus il était clair que le sang venait d'elle vu l'odeur identique.

« Je me nomme Yuka Aineias, une inquisitrice libre, (elle mit l’une de ses main derrière sa tête) disons que j’ai une autre vision du rôle d’inquisiteur que ceux du royaume de cinq joyaux. Donc je fais comme mon cœur souhaite en suivant les concepts que sa divinité Soleil aurait réellement en cœur. Enfin je me doutais bien que vous étiez vampire surtout quand un renégats ex-inquisiteur a voulut à tout prix s’emparer de vous, et si je puis me permettre vous avez beau être une ambassadrice, vous avez oublié de vous vêtir comme il se doit, d’ailleurs… (elle lui déposa la cape noir sur les genoux), voici pour vous. J'éspère que vous allez mieux, si vous avez besoin de quoi que se soit dite le moi, et ne vous inquiettez pas, je vous racompagnerais jusqu'à votre résidence.

Emilie sourit, heureuse et soulagée de pouvoir se détendre un peu dans cette vie effrénée. Elle écoutait tranquillement la jeune fille parler de sa voix agréable tandis qu'elle reposa son verre, à la manière d'un dame cette fois-ci. Une inquisitrice libre... Voilà un concept plutôt novateur, pensa la jeune vampire. Il était vrai que les habitants du Royaume des Cinq Joyaux eux-mêmes trouvaient le pouvoir de la Sainte Inquisition un peu trop puissants. C'étaient eux qui en voulaient particulièrement aux créatures magiques que sont les vampires et les nécromanciens, et qui avaient monté la population Narkae contre eux. Bon, il faut reconnaître également que les vampires sont par nature combattifs et belliqueux, mais ces inquisiteurs sont vraiment des extrémistes. Un instant, elle se demanda si la jeune fille la prenait toujours pour une gosse ou si elle parlait vraiment comme ça à tout le monde, mais écarta la question. Lorsque celle-ci eu fini de parler, elle lui dit, pleine de reconnaissance : "Permettez moi de vous dire qu'il existe peu de personne en ce monde qui auraient fait une chose pareil, et je tiens à saluer votre immense valeur. Je vous exprime toute ma gratitude, seule Kuroshi sait ce qui aurait pu m'arriver."

Elle regarda la cape déposée avec soin sur elle, une belle cape d'un noir profond. Elle passa les doigts sur le tissu, profitant de sa douceur. Elle regrettait que le monde ne soit pas aussi tendre que cette étoffe, que les gens se déchirent sans cesse, et le plus souvent sans raison. Les yeux un peu dans le vide, elle dit, amusée : "Je vous avoue que je n'ai jamais aimé les manteaux fournis aux officiers, ils sont bleu marine, et je n'aime pas les couleurs sombres. Mais je vous remercie de me prêter cette cape, j'en aurai bien besoin pour rentrer chez moi, noire ou pas."

Elle repensa un instant au concept d'inquisitrice libre, et se tourna vers Yuka, l'air un peu plus sérieux : "C'est audacieux de votre part de prétendre détenir la vérité au niveau des sentiments de votre dieu, mais cela ne force pas moins le respect. Vous êtes convaincue qu'il ne peut pas souhaiter la mort de tant de monde, ni toute la violence dont font parfois preuve ceux qui disent le servir. Vous êtes sûre qu'il est bon, et vous ne pouvez penser qu'il désire la disparition des vampires. C'est ça la Foi. Vous, vous avez vraiment foi en votre dieu, puissiez-vous vivre longtemps pour avoir l'occasion de la répandre."

Elle descendit lentement du lit, puis mit la cape par-dessus ses épaules. "Je n'ai pas besoin que vous me rameniez, aussi si vous avez autre chose à faire, je ne vous dérangerai pas plus longtemps. J'aurai bien aimé rester plus longtemps, mais si je ne suis pas à l'ambassade rapidement, mes... subordonnés vont s'inquiéter. En outre, ma réunion doit être passée déjà... Mais, me feriez-vous le plaisir de m'accompagner plutôt que le devoir ? "

Yuka fut très ému sembla t’il d’entendre tout ses mots concernant son choix d’être une inquisitrice libre, elle sembla très touché, elle n’alla pas jusqu’au larmes mais ses yeux qui passaient aux jaune ambre, et son visage (voir avatar), montraient clairement qu’elle était touchée. Concernant le dire pour la raccompagner elle sembla au début un peut curieuse, mais par la suite amusé, elle dit alors d’une voix tout bonnement amical, douce, et le visage radieux,

Ma foi… pourquoi pas, pour moi je n’ai pas proposé de venir par devoir, mais plutôt par nature, et puis je ne suis pas non plus encore certaine que vous alliez entièrement mieux et il serait stupide de vous le demander, car même si vous alliez mal je suppose que vous diriez aller bien. (Elle se leva) Merci beaucoup pour vos paroles, il faut dire que c’est la première fois que j’entend une personne me dire cela, et surtout que cela vienne d’un vampire, car voyez vous, c’est justement car j’étais contre le sort d’un vampire qu’avait voulu mon supérieur que j’ai choisis d’arrêté, je dois avouer qu’a la capital, les vampire n’ont même pas le droit d’exister et cela m’attriste beaucoup.
Par contre ne sachant où vous résidez, je vais surtout vous suivre, et pour information, vous pouvez me tutoyer, depuis que j’ai quitté mon statut, j’ai perdu l’habitude d’être vouvoyée. »

Elle se releva, tendant la main à la jeune fille, le sourire au lèvre,

" Vos amis vous attendent ! "

La jeune vampire hésita, puis saisi la main qu’on lui tendait, avec un sourire rayonnant. Les pensées se bousculaient dans son esprit. Elle était convaincue qu’elle pouvait faire quelque chose de l’occasion qui se présentait à elle, car elle craignait de ne pouvoir rencontrer une telle personne avant un certain temps. Cette jeune femme avait sauvé la vie d’un vampire ! C’était un fait impensable par les temps qui couraient, pourtant cela était ! C’était là quelque chose de formidable ! Tandis qu’elle sortait de la taverne en prenant bien garde de recouvrir sa tête et ses épaules de la cape qu’elle tenait de la main gauche, elle se mis à réfléchir à toute vitesse à ce qu’elle pourrait tirer de cette évènement, puis se tourna vers Yuka, hésitante, ne sachant comment exprimer son idée. Elle se décida enfin, se disant qu’elle devrait bien commencer par quelque part de toute façon, et lui l’air indécise :

« Je… Hm… Vous avez toute ma gratitude pour avoir risquer votre vie pour un membre de ma race, en sachant ce qu’ils ont déjà fait, en refusant de le juger sur sa race, merci. Mais je suis convaincue qu’il existe d’autres personnes dans votre cas, des gens purs… Ou du moins des humains qui en ont assez du pouvoir absolu des inquisiteurs. Je suis sûre que parmi le peuple Narka, nous pouvons trouver un grand nombre de personnes qui pensent comme vous. »

Retrouvant peu à peu son élément de prédilection, à savoir la planification, la négociation et l’action, elle reprit confiance en elle et son visage souriant prit un air plus déterminé. Elle tenait un filon, elle devait l’exploiter, et c’était le bon moment. Elle commença à penser à grande vitesse et à imaginer les possibilités qui s’offraient à elle. En réalité, son esprit était à nouveau comme un écran sur lequel défilaient simultanément les hypothétiques évènements, leurs possibles conséquences, la liste des personnes qui pourraient lui être utiles pour mener ce projet à bien, les dangers et les risques à prendre en compte, les obstacles actuels et ceux qui pourraient se révéler comme tels, etc. Elle continua de marcher en regardant le sol, levant les deux bras comme un chef d’orchestre, et dit à sa sauveuse, l’air presque en transe :

« Ce serait sensationnel, regardez, les vampires accoreront avec plaisir leur soutien à ceux du Royaume des Cinq Joyaux qui voudraient dénoncer les abus de la prétendue « sainte » Inquisition, et nous pourrions arriver à un soulèvement des Narkae à Saïsha, et même peut-être plus loin ! Grâce au journal d’Arwen, on peut fédérer tous ceux qui voudraient répondre à cet appel sans risquer quoi que ce soit ! Nous parviendrons peut-être à une scission du Royaume…

Elle écoutait avec attention tout en marchant en regardant devant elle,

« Vos dires sont intéressants, cependant concernant l’inquisition je ne veux pas me mêler à un camp particulier, car je sais qu’il existe de bon inquisiteur, et j’ai déjà été obligé d’abandonner ma place d’apprentis du second inquisiteur pour essayer de sauver un vampire (elle sera la mâchoire), même si j’ai échoué j’ai au moins compris qu’il vaut mieux ne pas être dans un camp en particulier mais d’agir sur se qu’on peut, d’agir sur l’instant, et de faire comprendre si cela est possible. Je ne suis ni pour un camp, ni contre, je vois celons les actes des personnes. Et personnellement, je préfère éviter de retourner au royaume des cinq joyaux étant donné que les inquisiteurs souhaitent me récupérer… », Elle semblait réfléchir.
Elle marchait plus lentement, elle ne serrer plus la mâchoire, mais elle semblait tout de même comme regretter certaines choses.

« J'aiderais seulement si je vois que le royaume est dans un état critique. », elle avait l’air dans la lune, puis avec un grand sourire et des yeux de couleur ambre elle dit,

« Sinon je me demandais, quel âge avez-vous ? »

[HRP] Vraiment désolée pour le retard, merci de ta patience Yuka [HRP]

En entendant ces paroles, Emilie se retint un instant de dire ce qui lui vint automatiquement à l’esprit. Elle aurait sûrement pu la faire changer d’avis, mais si elle avait échoué, cette jeune femme aurait été tourmentée pendant des semaines. Sa technique consistait à jouer de cynisme pour montrer aux personnes voulues que la situation était déjà assez dégradée, et elle pouvait citer nombre d’exemples qui lui prouverait la véracité de ses propos. Mais elle ne voulait pas l’importuner, et préférait préserver une personne gaie et bienveillante qu’une militante anti-inquisition. Elle comprenait la jeune Yuka qui avait sûrement du rencontrer des inquisiteurs valeureux durant sa vie, peut-être avait-elle même encore des amis là-bas, bien qu’il devrait normalement éviter de clamer leur attachement à une traître. Emilie choisit de continuer sur le ton de la conversation, prenant bonne note de ce qu’elle venait de lui dire.

« Je comprends votre point de vue, et je conçois parfaitement que vous pensiez plus efficace d’agir au cas-par-cas, mais c’est parce que vous n’avez jamais été dans les hautes sphères décisionnelles de votre hiérarchie. Vous voyez, j’ai beaucoup de pouvoir et de responsabilité, et je pense que l’assouplissement des lois solaires est un des enjeux de ma vie. Je me bats pour la paix et le respect entre les hommes, et nous savons très bien que n’importe qui est capable d’avouer n’importe quoi sous la torture. L’Inquisition doit apprendre la tolérance, ou disparaître. Vous savez, nous agissons chacun en fonctions de l’étendue de nos pouvoirs : j’estime qu’avec le statut d’ami… Arh, d’ambassadrice, j’ai des responsabilités plus imposantes que vous. Elle serra les dents un instant, refoulant une rage passée, puis reprit : Vous pourriez au moins témoigner en tant qu’inquisitrice, sans donner votre nom, il vous suffirait de parler de ce que vous avez fait, de cette magnifique preuve de tolérance, montrant ainsi à tous que la paix entre nos peuples est possible. »En réalité, Emilie ne croyait qu’a moitié ce qu’elle disait. Si l’on s’intéressait un minimum aux vampires, on se rendait compte qu’ils étaient bien plus dangereux que l’inquisition, bien qu’ils ne pratiquent pas tant la torture. Mais elle savait que le goût de dominer et de combattre étaient parties intégrantes de ses concitoyens. La société vampirique était très encadrée, et il était presque impossible de faire autre chose que ce que la famille vous a prévu. En outre, les vampires pratiquent couramment l’esclavage, et les prisonniers de guerre ou l’équipage des navires arraisonnés par la flotte vampirique servaient pour la plupart soit de serviteurs serviles, soit de sujets d’expériences macabres pour les nécromanciens. Mais comme il était bien trop dangereux de se rendre sur la Péninsule de la Main Noire, personne ne le savait. Bien sûr, de nombreuses rumeurs circulaient, et plusieurs personnes se doutaient de ce quoi se passait, mais nul n’a pu trouvé de preuve irréfutable et les frontières imperméables ne laissaient échapper aucun dissident ni rentrer aucun espion. Mais elle fut interrompue dans ses réflexions lorsqu’elles arrivèrent à l’ambassade.

« Nous y voilà, me ferais-tu le plaisir de rester encore un peu avec moi ? Nous avons du thé excellent si tu veux. »


==> RDV à la Place des Vents, dans la partie Sud de la ville.